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lundi 1 septembre 2014

Perfect Haïti à fort Jacques


A plusieurs mettre d’altitude se trouve l’un des fort les plus visité du pays. Cette année l’agence PERFEC HAITI qui est une agence de mode et touristique ayant pour objectif de valoriser la mode et nos sites touristique a pris la direction de Fort Jacques qui se situe plus précisément à Kenscoff commune du département de L’ouest. C’est dans cette optique que l‘agence s’engage à vendre l’image de ce site quoi qu’il est en ruine mais cela n’empêche pas que les mannequins se font le point et expriment leurs contentement à l’égard de cet endroit. Le Fort qui donne une vue paradisiaque tout en dominant la ville de Port-au-Prince, de Pétion-Ville et autres, surtout les soirs quand les villes sont électrifiées, c’est hallucinante, expliquent, Barbara JEAN BAPTISTE et KERLY.
A l’intérieur de ce Fort se trouve un passage qui sur le temps de l’armée, bien entendu, suivant les dire des guides qui menait les soldats à Fort Alexandre et même d’autre endroit. Il y a aussi un espace destiné pour cuire le pain et prendre de l’eau aussi qui servent à nourrir les soldats au cas il y a une attaque inattendue. Dessalines avait ordonné de construire sur certaines collines des forts qui, devaient dans le but de protéger le pays contre une éventuelle attaque de l’ennemi. C’était à ce moment la que le fort Jacques et Alexandre a été construit pour protéger le département de l’ouest. L’environnement de Kenscoff qui abrite le fort est florissant parce qu’on trouve presque tout, les légumes se cultivent en grande quantité. Sa beauté, sa fraicheur est presqu’un incomparable.







La déforestation en Haïti


Malgré tous les efforts des gouvernements actuels et passés, le phénomène de déforestation reste un problème très flagrant en Haïti. La couverture forestière est aujourd'hui à moins de 2% selon les sources fournis par les autorités. « Notre situation est très critique quand on considère la très maigre couverture forestière qui nous reste aujourd’hui », martel un cadre du ministère de l’environnement ayant requis l’anonymat.
Prenons le cas du foret des pins qui, maintenant est sur le point de disparaître. Semble que le ministère de l’environnement reste loin d’intervenir. Regardons bien nos mornes qui se dépérissent petit à petit, selon un article de (ACF) assainissement pour action de la faim, qui stipule qu’en 1975, les surfaces cultivable d’Haïti ont diminué de moitié. Ce qui nous reste, est minime et moins en moins la population pratique l’agriculture alors que pour survivre elle recourt à la coupe des arbres pour produire du charbon de bois. Le déboisement de nos mornes chaque année entraînent la disparition des nombreuses espèces. Explique, dans le même article de l’ACF, le problème qui ravage la quatrième ville du pays (il s’agit de Gonaïves) que l’absence d’arbre à provoquer d’importants dégâts. Par exemple : en 2008, un cyclone et une tempête meurtriers ont saccagé la ville et traînent des pertes considérable.
Le problème de déforestation massive n’est pas uniquement une affaire de l’état. La société civile doit jouer sa partition. « Mais la population ne doit pas non plus être passive », poursuit un cadre du ministère. Selon l’ONU plus de 30 millions d’arbres sont coupés chaque année et que les haïtiens utilisent le charbon de bois ou abattre les arbres pour faire la cuisson. Ce qui, engendre une perte exorbitante pour le pays.
Par conséquent, le gouvernement décrète cette année «  l’année de l’environnement à Haïti » et fait une prospection de 29% de forets dans 50 ans. La question a été posée : quelle


Quelle éducation va-t-il donner à la population ? Comment va-t-il matérialiser cette idée? Lors que nous savons que nous avons un peuple qui ne donne aucune importance à l’environnement. On n’a aucun problème avec cette idée mais quel type d’arbre allons-nous planter qui pourrait répondre aux besoins de la population afin qu’elles puissent éviter de les abattre? Ce qui est on ne peut plus fatal pour le pays semble profiter à certaines personnes n’ayant pas la vie du tout facile. Ainsi, une marchande de charbon vivant à Port-au-Prince déclare en avoir tiré profit dans la vente du charbon. « Je gagne ma vie dans ce commerce. Par semaine, je gagne plusieurs milliers de gourdes, et cela m’aide à faire l’éducation de mes enfants », raconte- t- elle.
Toutefois, elle est bien consciente que cette pratique est néfaste pour le pays. Mais elle se voit obliger de faire ainsi pour gagner sa vie. « J’achète le charbon à 200 gourdes le sac, et je le vends à 500 gourdes dépendamment du client, toute fois, je sais que ce n’est pas bon pour l’environnement mais je n’ai pas d’autre recours. En plus on ne nous a pas interdit formellement », ajoute-elle désespérément.
En dépit des multiples mesures prises par l’état haïtien à cet effet, la solution du problème semble ne pas être pour demain. Car, tous les jours des camions en provenance de nos différentes villes de provinces rentrent bien chargée à Port-au-Prince. On ne cesse pas d’abattre les arbres sans aucune condition, sans penser aux répercutions que tout ça pourraient faire sur l’environnement. Tôt où tard on va endosser les conséquences. Les paysans qui, eux-mêmes se sentent dans une situation déplorable. Vivent dans un système qui leur perce la gorge chaque jour.

Malgré tous les efforts des gouvernements actuels et passés, le phénomène de déforestation reste un problème très flagrant en Haïti. La couverture forestière est aujourd'hui à moins de 2% selon les sources fournis par les autorités. « Notre situation est très critique quand on considère la très maigre couverture forestière qui nous reste aujourd’hui », martel un cadre du ministère de l’environnement ayant requis l’anonymat.
Prenons le cas du foret des pins qui, maintenant est sur le point de disparaitre. Semble que le ministère de l’environnement reste loin d’intervenir. Regardons bien nos mornes qui se dépérissent petit à petit, selon un article de (ACF) assainissement pour action de la faim, qui stipule qu’en 1975, les surfaces cultivable d’Haïti ont diminué de moitié. Ce qui nous reste, est minime et moins en moins la population pratique l’agriculture alors que pour survivre elle recourt à la coupe des arbres pour produire du charbon de bois. Le déboisement de nos mornes chaque année entrainent la disparition des nombreuses espèces. Explique, dans le même article de l’ACF, le problème qui ravage la quatrième ville du pays (il s’agit de Gonaïves) que l’absence d’arbre à provoquer d’importants dégâts. Par exemple : en 2008, un cyclone et une tempête meurtriers ont saccagé la ville et trainent des pertes considérable.
Le problème de déforestation massive n’est pas uniquement une affaire de l’état. La société civile doit jouer sa partition. « Mais la population ne doit pas non plus être passive », poursuit un cadre du ministère. Selon l’ONU plus de 30 millions d’arbres sont coupés chaque année et que les haïtiens utilisent le charbon de bois ou abattre les arbres pour faire la cuisson. Ce qui, engendre une perte exorbitante pour le pays.
Par conséquent, le gouvernement décrète cette année «  l’année de l’environnement à Haïti » et fait une prospection de 29% de forets dans 50 ans. La question a été posée : quelle


Quelle éducation va-t-il donner à la population ? Comment va-t-il matérialiser cette idée? Lors que nous savons que nous avons un peuple qui ne donne aucune importance à l’environnement. On n’a aucun problème avec cette idée mais quel type d’arbre allons-nous planter qui pourrait répondre aux besoins de la population afin qu’elles puissent éviter de les abattre? Ce qui est on ne peut plus fatal pour le pays semble profiter à certaines personnes n’ayant pas la vie du tout facile. Ainsi, une marchande de charbon vivant à Port-au-Prince déclare en avoir tiré profit dans la vente du charbon. « Je gagne ma vie dans ce commerce. Par semaine, je gagne plusieurs milliers de gourdes, et cela m’aide à faire l’éducation de mes enfants », raconte- t- elle.
Toutefois, elle est bien consciente que cette pratique est néfaste pour le pays. Mais elle se voit obliger de faire ainsi pour gagner sa vie. « J’achète le charbon à 200 gourdes le sac, et je le vends à 500 gourdes dépendamment du client, toute fois, je sais que ce n’est pas bon pour l’environnement mais je n’ai pas d’autre recours. En plus on ne nous a pas interdit formellement », ajoute-elle désespérément.
En dépit des multiples mesures prises par l’état haïtien à cet effet, la solution du problème semble ne pas être pour demain. Car, tous les jours des camions en provenance de nos différentes villes de provinces rentrent bien chargée à Port-au-Prince. On ne cesse pas d’abattre les arbres sans aucune condition, sans penser aux répercutions que tout ça pourraient faire sur l’environnement. Tôt où tard on va endosser les conséquences. Les paysans qui, eux-mêmes se sentent dans une situation déplorable. Vivent dans un système qui leur perce la gorge chaque jour.

Une économie en chute


Exclusion, racisme (social économie ou inhumaine) auxquels a été pris le ministère de l’économie en vue de mettre la masse et la classe moyenne dehors dans la société pour demander aux gens d’avoir certaine pièce pour accéder une carnet Bank .
Après le séisme du 12 janvier 2010 qui a causé des pertes matérielle énorme, en vie humaine et on assiste à la monter de l’économie bancaire, le constat est fait, les lignes se grossissent de jour en jour dans les banque et la multiplication des voles, de kidnappings qui sembleraient avoir des antécédents dans le système bancaire en Haïti. J’ai été victime d’une attaque faites par des voleurs qui savent exactement la somme dont j’ai entre mes mains et dans quelle Bank je sortais, c’était un matin vers 10heure à Delmas 60 que ceci m’était arrivé, raconte une victime.
Il semblerait qu’il y a des plans en herbe contre les pauvres et la classe moyenne afin qu’ils les mettent dehors dans la société. Il y a des étudiants ou écoliers, ceux sont eux qui paient leurs études. En récoltant de l’argent et les rassembler à la banque afin de trouver la somme requise pour payer l’écolage et d’autre ont leurs parents à la compagne qui, des fois les envoient l’argent pour passer deux à trois mois pour éviter une dépense irrationnelle de cet argent ils l’épargnent. On demande maintenant à chaque individu qui compte créer un compte bancaire d’avoir des pièces qui sont autres que des cartes d’identités  comme: patente, Bordereau d’EDH, ou les papiers que la personne a l’habitude payer les taxes. Comment voulez que cette personne là ait une patente, un bordereau, les papiers de DGI? Cette décision est purement racisme. C’est d’encourager plutôt le banditisme. On se comprend bien pourquoi le ministère de l’économie a sorti cet avis, c’est parce qu’il n’a jamais été ainsi, c’est un touriste, ce n’est pas un haïtien mais un étranger. Comment peut-on y croire qu’un type pourrait contre ca patrie, son peuple d’une sorte manière.
Comment demander à quelqu’un qui vit à jalousie, cité soleil qui parfois travaille occasionnellement et ce qui travaille pour 2500 gourdes par mois en raison de 83,34 gourdes par jour d’avoir un bordereau d‘électricité, une patente et autre ? il faut manger, payer l’écolage, payer le loyer, le seul moyen d’économiser ces sommes, c’est d’épargner une partie chaque mois à la banque. Vous qui êtes mère, père mettez vous à leur place et regardez les choses de bon côté. En plus vous n’avez jamais pensés que l’individu auquel vous vous imposez cette loi qui, sans défense, ne peut rien faire. Ce qui peut avoir des répercutions sur la vie de vos enfants, la société même. Oui vous pouvez dire que vous avez fait votre nom mais vous avez oublié une chose que la vie ne vous ratera pas.
Comment voulez-vous savoir que quelqu’un qui souffre et que vous-mêmes vous ne connaissez pas le goût de la souffrance ? Avez-vous déjà passé des jours, des nuits sans savoir quoi mettre à la vente ? Avez-vous déjà passé des moments à l’université, et à l’école classique où toutes les choses blanches sont grises à vos yeux ? Que vous ne savez où aller ? Il faut étudier, sinon, c’est la fin assurée pour vos études, votre avenir. Cette décision est purement la sœur jumelle de celle de la République dominicaine.

Fermathe 52 la fraicheur d’Haïti











Depuis 4 ans les touristes semblent changer de destination. Ils décident de se rendre à fermathe 52 une zone qui se situe entre KENSCOFF ET PETION-VILLE. Là où se trouve l’un des endroits le plus frais du pays plus précisément à boucan une localité de fermathe 52. L’équipe de la Perfection magazine a organisé une journée récréative dans l’objectif de partir à la quête de nouvelle chose, le samedi 8 mars 2014 sous le thème « Partir à l’aventure » dans le but de vendre une image verte du pays.
Fermathe 52, zone du département de l’ouest d’une température ambiante de moins de 150 c et une population urbaine a environs 800 habitants, de plus de 316 m d’altitude, un lieu très réserve vu à sa beauté, sa splendeur, sa fraicheur, son environnement sein. Pour y rendre deux possibilités vous sont offertes: si vous habitez à Kenscoff, vous pouvez seulement prendre un bus de Pétion-Ville et en arrivant à Fermathe 52 vous descendez à Boucan, si vous êtes de Pétion-Ville, vous allez à la station de Thomassin où celle de Kenscoff qui se trouve à l’ancienne cimetière de Pétion-Ville l’autre se localise légèrement plus haut du marché comme ça vous prenez un bus et vous arrivez à fermathe 52. En arrivant la haut vous allez escalader une montagne, traverser une rivière sèche et vous suivez un courant d’eau en montant et la vous allez commencer à découvrir après quelque minutes cette nature, vous allez joindre les trois chutes d’eau extraordinaire de Fermathe 52 dans la zone de Boucan.
Si vous avez envi de prendre un bon bain avec de l’eau bien fraiche pour ne pas dire geler se sera le moment. Là haut l’eau est vraiment gelée. Vue à la beauté et la fraicheur de cette eau la plus part de genre où touristes l’appelle le paradis terrestre, sans compter un soleil très agréable qui vous réchauffer après un tel bain. C’est Le meilleur endroit de Kenscoff et de Pétion-Ville que quelqu’un pourrait aller séjourner, se détendre. On n’a pas besoin de se rendre ailleurs pour en trouver des cascades, il suffit seulement de monter ou aller à Fermathe 52 là où se trouve la beauté, la fraicheur du Pétion-Villois et du Kenscoffite. Quelque chose qui pourrait être utile a la communauté et donne une autre image aux pays, on peut dire que c’est l’un de nos réserve naturelle Pétion-ville et de Kenscoff et qui pourrait générer des milliers de visiteurs.
En effet, un tel environnement ne doit pas rester inexploitable, le ministère du tourisme et de l’environnement doit faire le nec plus ultra pour mettre des moyens pour le protéger contre toutes menaces. Un endroit si agréable, qu’on peut entendre la palpitation du cœur de la nature, les chassons des oiseaux et enfin la musique de l’eau qui nous charme tous. Alors, venez regarder, s’amuser à Fermate 52 et connaitre votre commune, votre pays, sa beauté.

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