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mardi 19 mai 2015

Real Dance


La dance un moyen de communication avec la réalité… interview accordé exclusivement à Perfection magazine le Dimanche 18 janvier 2015. Perfection magazine : comment peut-on décrire REAL DANCE ? Carl Henry Jean : Real Dance est un groupe qui a pour objectif de faire danser tout le monde, d’amener la joie dans le cœur attristé, c’est un groupe qui ne se limite pas aux variétés de dance. Danser c’est notre rêve, danser c’est notre vie, Real Dance c’est un moyen d’exprimer nos frustration, de décrire nos opinions face à certaine chose, de décrire nos imaginations. Qu’est ce qui a marqué Real Dance pendant l’année 2014 et combien de temps que le groupe a sur le marché ? Carl Henry Jean : ce qui nous a marqué, c’est la passion que le groupe a pour la dance, leurs fougues, leurs amours. Woodley floradin : ce qui m’a marqué pendant cette année, c’est notre parcoure avec le groupe Destin et notre activité du 25 Décembre que le publique était acharné, fou de joie ainsi que des différentes activités comme celle de Zanmi Lasante ou organisation Sœur de PIH (Partners in Health) a organisé le 26 Décembre 2014 et on a charmé tout le monde. Le groupe a 5 ans d’existence et on a pu réaliser beaucoup de chose pendant ces 5 années la. Qu’est ce que Real Dance voulait pour cette année ? Carl Henry jean : Pour cette année nous aimerions que le groupe garde cet image une image positif afin d’avoir une meilleure vue sur l’échelle national qu’ou international. Je veux lorsqu’on parle de Real Dance qu’on voit quelque chose de différente. On a beaucoup de chose pour cette année comme les activités que nous allons organiser et nous avons espéré de faire une tournée dans la caraïbe et autre. Combien de membre que contiennent le groupe et le rôle de chacun d’eux ? Carl Henry Jean : le groupe contient environs 9 personnes opérationnelle (5 danseurs (4 garçons et 1 fille), un délégué, un responsable de finance et 3 manager). Que cherche le groupe en réalité ? Comment le publique a vu le groupe pendant ces 5 années d’existence ? Carl Henry Jean : Real Dance cherche pour le moment de l’encadrement, la visibilité, on voulait trouver un promoteur afin de survivre avec le groupe. Vous savez que le groupe ne peut pas exister sans financement d’où la raison pour laquelle on cherche ça. Woodley Floradin : Comment le publique nous a vu ? Après chaque apparition sur scène on a trouvé de félicitation et autre. On n’a jamais cessez de répéter ou de faire de la répétition, de travailler, de produire afin que le publique ne trouve pas trop de faille chez nous, de produit quelque chose de nouveau à chaque moment. Le publique a vu en Real Dance un autre groupe, une nouvelle génération de dance, de la chaleur, de l’amour, cela veut dire que tout le monde peut s’y trouver dans nos chorégraphies. Pourriez-vous énumérez le nombre de personne que contient le groupe ? le moyen nécessaire qu’on joindre le groupe ? Carl henry jean : pour commencer  nous avons en premier lieu, Moi Jean Carl Henry le President et danseur, Woodley Floradin Danseur, Jean Carlos Danseur, Rose Thanis Fadaelle danseuse, Lené Junelson danseur, Starham Jonathan délégué, Patrick Jean Baptiste Manager principal, Lené Wilson manager Adj, Jean Baptiste Sergino manager adj. D’où pour le moment le nombre de personne qui font partir du groupe Real Dance. Pour nous joindre au cas de besoin vous pouvez contacter le magazine.

La déforestation en Haïti


Malgré tous les efforts du gouvernement actuel et passés, le phénomène de déforestation reste un problème très flagrant en Haïti. La couverture forestière est aujourd'hui à moins de 2% selon les sources fournis par les autorités. « Notre situation est très critique quand on considère la très maigre couverture forestière qui nous reste aujourd’hui », martel un cadre du ministère de l’environnement ayant requis l’anonymat. Prenons le cas du foret des pins qui, maintenant est sur le point de disparaitre. Semble que le ministère de l’environnement reste loin d’intervenir. Regardons bien nos mornes qui se dépérissent petit à petit, selon un article de (ACF) assainissement pour action de la faim, qui stipule qu’en 1975, les surfaces cultivable d’Haïti ont diminué de moitié. Ce qui nous reste est minime et quasiment la population ne pratique plus l’agriculture pour survivre, elle livre à la coupe des arbres pour produire du charbon de bois. Le déboisement de nos mornes chaque année entrainent la disparition des nombreuses espèces. Explique, dans le même article de l’ACF, le problème qui ravage la quatrième ville du pays (il s’agit de Gonaïves) que l’absence d’arbre à provoquer d’importants dégâts. Par exemple : en 2008, un cyclone et une tempête meurtriers ont saccagé la ville et trainent des pertes considérable. Le problème de déforestation massive n’est pas uniquement une affaire de l’état. La société civile doit jouer sa partition. « Mais la population ne doit pas non plus être passive », poursuit un cadre du ministère. Selon l’ONU plus de 30 millions d’arbres sont coupés chaque année et que les haïtiens utilisent le charbon de bois ou abattre les arbres pour faire la cuisson. Ce qui, engendre une perte exorbitante pour le pays. Par conséquent, le gouvernement décrète cette année «  l’année de l’environnement à Haïti » et fait une prospection de 29% de forets dans 50 ans. La question a été posée : Quelle éducation vont-ils donner à la population ? Comment va-t-il matérialiser cette idée? Lors que nous savons que nous avons un peuple qui ne donne aucune importance à l’environnement. On n’a aucun problème avec cette idée mais quel type d’arbre allons-nous planter qui pourrait répondre aux besoins de la population afin qu’elles puissent éviter de les abattre? Ce qui est on ne peut plus fatal pour le pays semble profiter à certaines personnes n’ayant pas la vie du tout facile. Ainsi, une marchande de charbon vivant à Port-au-Prince déclare en avoir tiré profit dans la vente du charbon. « Je gagne ma vie dans ce commerce. Par semaine, je gagne plusieurs milliers de gourdes, et cela m’aide à faire l’éducation de mes enfants », raconte- t- elle. Toutefois, elle est bien consciente que cette pratique est néfaste pour le pays. Mais elle se voit obliger de faire ainsi pour gagner sa vie. « J’achète le charbon à 200 gourdes le sac, et je le vends à 500 gourdes dépendamment du client, toute fois, je sais que ce n’est pas bon pour l’environnement mais je n’ai pas d’autre recours. En plus on ne nous a pas interdit formellement », ajoute-elle désespérément. En dépit des multiples mesures prises par l’état haïtien à cet effet, la solution du problème semble ne pas être pour demain. Car, tous les jours des camions en provenance de nos différentes villes de provinces rentrent bien chargée à Port-au-Prince. On ne cesse pas d’abattre les arbres sans aucune condition, sans penser aux répercutions que tout ça pourraient faire sur l’environnement. Tôt où tard on va endosser les conséquences. Les paysans qui, eux-mêmes se sentent dans une situation déplorable. Vivent dans un système qui leur perce la gorge chaque jour. Patrick Jean Baptiste

Perfect Haïti à fort Jacques


A plusieurs mètres d’altitude se trouve l’un des forts les plus visité du pays. Cette année l’agence PERFEC HAITI qui est une agence de mode et touristique ayant pour objectif de valoriser la mode et nos sites touristique, a pris la direction de Fort Jacques, qui se situe plus précisément à Kenscoff, commune du département de L’ouest. C’est dans cette optique que l‘agence s’engage à vendre l’image de ce site quoi qu’il est en ruine mais cela n’empêche pas que les mannequins se font le point et expriment leurs contentement à l’égard de cet endroit. Le Fort qui donne une vue paradisiaque tout en dominant la ville de Port-au-Prince, de Pétion-Ville et autres, surtout les soirs quand les villes sont électrifiées, c’est hallucinante, expliquent, Barbara JEAN BAPTISTE et KERLY. A l’intérieur de ce Fort se trouve un passage, qui sur le temps de l’armée, bien entendu, suivant les dire des guides qui menait les soldats à Fort Alexandre et même dans d’autres endroit. Il y a aussi un espace destiné pour cuire le pain et prendre de l’eau servent à nourrir les soldats au cas il y a une attaque inattendue. Dessalines avait ordonné de construire sur certaines collines des forts qui devaient dans le but de protéger le pays contre une éventuelle attaque de l’ennemi. C’était à ce moment là que le fort Jacques et Alexandre a été construit pour protéger le département de l’ouest. L’environnement de Kenscoff qui abrite le fort est très florissant. On y cultive les légumes en grande quantité. Sa beauté, sa fraicheur est presqu’un incomparable.

Fermathe 52 la fraicheur d’Haïti


Depuis 4 ans, les touristes semblent changer de destination. Ils décident de se rendre à fermathe 52, une zone qui se situe entre KENSCOFF ET PETION-VILLE. Là où se trouve l’un des endroits le plus frais du pays notamment à boucan une localité de fermathe 52. L’équipe de la Perfection magazine a organisé une journée récréative dans l’objectif de découvrir de nouvelle chose, le samedi 8 mars 2014 sous le thème « Partir à l’aventure » dans le but de vendre une image verte du pays. Fermathe 52, zone du département de l’ouest, à une température ambiante d’environs 150 c de plus une population urbaine a environs 800 habitants, de plus de 316 m d’altitude, un lieu très réserve compte de sa beauté, sa splendeur, sa fraicheur, son environnement sein. Une zone réputée pour les lettures, cressons, sa tranquillité et sa position géographique. En effet, Pour y rendre deux possibilités vous sont offertes: si vous habitez à Kenscoff, vous pouvez seulement prendre un bus de Pétion-Ville et en arrivant à Fermathe 52 vous descendez à Boucan, si vous êtes de Pétion-Ville, vous allez à la station de Thomassin où celle de Kenscoff qui se trouve à l’ancienne cimetière de Pétion-Ville l’autre se localise légèrement plus haut du marché comme ça vous prenez un bus et vous arrivez à fermathe 52. En arrivant la haut vous allez escalader une montagne, traverser une rivière sèche et vous suivez un courant d’eau en montant et la vous allez commencer à découvrir après quelque minutes cette nature, vous allez joindre les trois chutes d’eau extraordinaire de Fermathe 52 dans la zone de Boucan. Si vous avez envi de prendre un bon bain avec de l’eau bien fraiche pour ne pas dire geler, n’hésitez pas. Là haut l’eau est vraiment gelée. Vue la beauté et la fraicheur de cette eau, la plus part de gens où touristes l’appelle le paradis terrestre, sans compter un soleil très agréable qui vous réchauffe après un tel bain. C’est Le meilleur endroit de Kenscoff et de Pétion-Ville que quelqu’un pourrait aller séjourner, se détendre. On n’a pas besoin de se rendre ailleurs pour en trouver des cascades, il suffit seulement de monter ou aller à Fermathe 52 là où se trouve la beauté, la fraicheur du Pétion-Villois et du Kenscoffite. Quelque chose qui pourrait être utile à la communauté et donne une autre image aux pays, on peut dire que c’est l’un e des réserve naturelle Pétion-ville et de Kenscoff et qui pourrait accueillir des milliers de visiteurs et par conséquent générer de milliers de dollar pour alimenter la caisse de l’Etat. En effet, un tel environnement ne doit pas rester inexploitable, le ministère du tourisme et de l’environnement doit faire le nec plus ultra pour mettre des moyens pour le protéger contre toutes menaces. Un endroit si agréable, qu’on peut entendre la palpitation du cœur de la nature, les chassons des oiseaux et enfin la musique de l’eau qui nous charme tous. Alors, venez regarder, s’amuser à Fermathe 52 et connaitre votre commune, votre pays, sa beauté. Patrick Jean Baptiste

Editorial


Une nouvelle ère s’ouvre à la jeunesse avec PERFECTION MAGAZINE Dans cette sécheresse intellectuelle le magazine voulait activer le spectre de la révolution  afin de briser l’esclavage mental auquel nous sommes tous concourus depuis plus d’une centaine d’années. Aujourd’hui l’heure est enfin arrivée pour avoir la liberté d’expression, de dire ce que nous pensons, de partager nos opinions, de connaître la réalité du pays, de partager nos idées. Le Magazine voulait restaurer le système éducatif, de voir le retour de nos écrivains, de nos poètes, des touristes dans le pays etc. La Perfection magazine est un magazine social qui tient à informer le grand public que sa porte est ouverte et on attend tout le monde. La direction du magazine reçoit les articles divers car il est créé pour vous, dans le but de vous offrir un meilleur espace, surtout vous les jeunes et ceux qui sont privés de cette liberté. Vous pouvez faire passer vos opinions, dire ce qui vous fait mal, demander conseil et discuter avec d’autre personne. Pour abonner, Perfection magazine vous offre trois possibilités : premièrement, payer par la banque, deuxièmement, par la direction et finalement, par un agent autorisé de perfection magazine. L’abonnement se fait chaque trois (3) mois (500gdes), six (mois) (1000gdes), un (1) an (2000gdes) et vous recevez une édition chaque mois. Vous aurez un numéro et c’est celui qui va vous permettre de recevoir le magazine, de publier vos textes en l’affichant au bas de page. A ne pas oublier que le magazine est mensuel, c’est votre magazine, vous devez participer à sa construction et sa prospérité afin de donner une autre allure à la jeunesse. La porte est grandement ouverte, venez publier vos textes, exprimer vos frustrations, vos problèmes, d’annoncer vos activités. C’est à vous de décider de ce qui est bon pour vous, de ce qui sera utile à votre avenir. N’abandonnez jamais un rêve que vous avez, ce sont les lâches qui abandonnent et vous savez, les lâches n’ont aucune considération. C’est à vous decider, personne ne peut décider à votre place.

L'art une nouvelle issue pour l'économie Haïtienne


Avec le développement du tourisme en Haïti, la peinture et  l'artisanal pourraient constituer en majeur partie la base de l'économie haïtienne. C'est la chose la plus attirante dans le pays, disent les touristes partout dans les rues où on pourrait les remarquer. Depuis ces derniers temps, le taux de technicien en la matière a évolué considérablement, de nombreux jeunes ou adultes s'intéressent à cet art et les touristes ne cessent pas de les acheter. Certains les achètent pour faire du commerce et d'autre pour faire la décoration mais la question à poser : comment les matérialisent au profit du peuple haïtien ? Témoignent beaucoup d'entre eux qui ont frappé par de faux patriotes qui font des chantages aux tourismes afin de les acheter un vil prix. Ils Confrontent à des différents problèmes venant des Haïtiens qui se joignent avec les étrangers pour déstabiliser les artisans, les peintres ainsi que des problèmes d'encadrement de la part de l'Etat qui ferme les yeux sur ce secteur de l'économie Haïtienne. La création du ministère de la culture en 1994 qui avait pour but de valoriser la culture haïtienne, de la supporter, de l’encadrer qui, jusqu'à aujourd'hui n’apporte pas de grande chose ou on peut dire créer pour répondre aux besoins des grands seigneurs mais qui n'est pas ouvert aux petites entreprise. Toujours victimes des retomber du gouvernement, qui d'une par oublie tout le secteur, parce que les tableaux, les produits artisanales, se sont vendu aux prix dérisoire à cause d'un manque de support. Alors une personne qu'utilise ce genre de métier a fort difficile de survivre face aux exigences de la vie, sans pour autant, d'autre font des fortunes avec et ils pourraient en général les faire aussi. Constatons sur les bords des rues de toutes les villes du pays qui sont exposées aux tourismes se trouvent de l'art Haïtien et c'est magique ! C’est rayonnant ! C’est une décoration hallucinante. Quand on remarque les œuvres d'art dans le musée haïtien que le secteur estudiantin n'a jamais connu, on se pose la question : qu'est ce qui ce passe ? Pourquoi l'Etat Haïtien ne met pas accent sur l'art, l’une des choses qui pourrait susciter la croissance économique du pays ? Il faut un changement radical pour permettre à ce secteur d’avoir une chance de faire figure. Les artisans pourraient les exposer dans les hôtels, créer plus de galerie pour eux. Haïti, c'est notre pays! Notre espoir ! Patrick Jean Baptiste

Haïti et son rôle dans l’histoire de la Libye


Depuis près de 6 mois la Lybie est victime d’incessants bombardements de la part de l’OTAN. Les médias dominants nous répètent ad-nauseum que l’actuel conflit se déroule tout naturellement dans la foulée des précédentes révoltes nord-africaines. Ces médias omettent de mentionner l’effondrement du systême économique mondial et les différents réalignements géopolitiques qui tendent à inciter les derniers soubresauts de rapacité des anciennes puissances coloniales. C’est dans ce contexte que la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis ont décidé de s’appuyer sur des anciens proches de Kadhafi et Al-Qaeda pour tenter de partitionner et piller les richesses de la Lybie. L’histoire peut nous apprendre beaucoup sur la Lybie. Une lecture historique peut nous éclairer sur les motivations réelles des puissances occidentales, en analysant le rôle joué par le sénateur haïtien Émile St-Lot qui s’opposa à la partition de la Lybie. Le sénateur St-Lot compléta des études d’agronomie et de droit. Il vécut sa jeunesse durant l’occupation américaine d’Haïti qui dura de 1915 à 1937. Il y est témoin comme bon nombre d’Haïtiens du racisme et des exactions des troupes États-uniennes. Ces expériences feront de lui un ardent défenseur de la justice et de l’indépendance des nations. Il jouera un rôle central en 1945 en tant qu’ambassadeur d’Haïti aux Nations unies. Le proche collaborateur de René Cassin participa à la préparation, l’élaboration et à la signature de la déclaration universelle des droits de l’homme à Paris. Il y représenta avec brio son pays au conseil de sécurité où il fut chargé de voter ou non l’indépendance des pays. Dès sa création Haïti supporta toujours la liberté des peuples opprimés, la première république nègre n’hésita pas à supporter par les armes Miranda et Bolivar. Haïti joua un rôle similaire dans un cadre diplomatique à la société des nations (SDN) en condamnant fermement l’attaque de l’Italie fasciste contre l’Abyssinie (Éthiopie) et ce malgré les positions racistes des grandes puissances favorables à l’agresseur. Durant ce conflit Haïti argumenta l’application de sanctions contre l’agresseur fasciste et le respect du pacte de la société des nations. Face à l’intransigeance française qui défendait l’indéfendable (le plan de partition Laval-Hoare), un délégué haïtien Alfred Nemours lança des paroles prophétiques:<> Suite à la deuxième guerre mondiale, lors de la conférence de Potsdam, les puissances alliées conviennent de régler ultérieurement le cas des possessions italiennes. C’est dans ce cadre qu’est présente le plan Bevin-Sforza en 1949 aux nations unies, le sénateur Émile St-Lot s’y opposa pour plusieurs raisons: – Il fait disparaître L’Érythrée en la partageant entre le Soudan et l’Éthiopie impériale – La Somalie y est placé sous l’administration de l’ancien colonisateur italien pour une période indéterminée. – La Lybie est dépecée en 3 parties la Cyrénaïque, Fezzan et la Tripolitaine contre les vœux de la majorité des Lybiens. Les territoires administratifs sous tutelle seront respectivement attribués à l’Italie, la France et aux Brittaniques. Il est prévu dans le plan que la Lybie y obtiendrait son indépendance après 10 ans d’administration étrangère. L’ambassadeur haïtien n’est pas dupe et voit dans cette proposition un plan de prédation colonial. Les déclarations du secrétaire d’état américain John Foster Dulles sur L’Érythrée ne laissent planer aucun doute sur les visés des principaux protagonistes. Pour Dulles, le rattachement de l’Érythrée à l’Éthiopie est nécessaire pour protéger les intérêts États-uniens dans la mer rouge. Le 17 mai 1949 à la grande consternation des puissances occidentales le sénateur Émile St-Lot vote NON à l’approbation de cette résolution, contre l’avis du président haïtien Estimé. Son vote bloque l’application du plan Bevin-Sforza et empêche la partition de la Libye. Cet évènement majeur de l’histoire paraît aujourd’hui invraisemblable car la désormais faible Haïti et ses leaders corrompus ne peuvent même pas dire NON aux forces d’occupation de l’ONU qui déversent fréquemment de la merde au choléra dans les rivières haïtiennes. Connaissant les positions du Sénateur St-Lot qui participa au 1er congrès des écrivains noirs en 1956 au côté d’hommes tels Franz Fanon; de l’au-delà celui-ci dut être conforté par le développement fulgurant de la Libye après le renversement du roi Idriss. Doté du plus haut niveau de vie de l’Afrique, la Libye du Colonel Kadhafi partagea son abondance avec le continent noir en lui permettant d’obtenir son premier satellite RASCOM-1, en aidant l’ANC de Nelson Mandela durant les moments les plus sombres de l’Apartheid Sud-Africain, en développant des projets d’agriculture visant à augmenter l’indépendance alimentaire de l’Afrique et en finançant copieusement l’union africaine. La Libye sous l’égide de Kadhafi est loin d’être parfaite, mais elle donne aujourd’hui une fois de plus par ses actions une grande leçon à tous les peuples opprimés du sud. Elle résiste depuis plus de 5 mois aux bombardements sauvages et au blocus arbitraire de la plus puissante alliance militaire de l’histoire. Le succès de cette résistance libyenne (plus de 2000 tribus) dans le contexte de la désintégration du système financier international démontre aux peuples démoralisés tels qu’Haïti que la résistance est possible et nécessaire. Clairement, les bourreaux d’hier n’ont plus les moyens de leurs ambitions! En 1957, après que l’ambassadeur haïtien eu fini de délivrer son discours en faveur de l’indépendance lycienne, un confrère ambassadeur lui fit remarquer que: " le temps était sombre!" En sage gnostique Haïtien, Émile St-Lot lui répondit que: "l’esprit brille" Malgré les difficultés futures pour Haïti, la Libye et le monde, le temps est sombre mais l’esprit brille. source:http://allainjules.com

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