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dimanche 31 mai 2015

FEMME SOUFFRANTE A LA FETE


FEMME SOUFFRANTE A LA FETE Il n’a pas eu de repère historique au cours duquel l’humanité eut prétendu autant caressante envers la femme que le temps moderne jusqu’à l’afficher au-devant de la scène. Plusieures institutions internationales, régionale, nationale et même locale sont érigés pour la défense de leurs causes. Des résolutions adoptent des dates officielles annuelles pour la célébrité de la femme. Le mois de mai et de mars leur en sont consacrés. En effet, sur le plan global, elles ont réalisé de sérieuse conquête en ce qui attrait de leur droit. En Haïti comme certains d’autres pays la fête des mères célèbre au mois de mai. Mais cette fête célèbre dans des conditions socio-politico-économique différentes en ce qui concerne la femme, surtout la femme haïtienne tout en considérant que toutes les mères sont des femmes bien qu’en réciproque. On ne doute pas sur la bravoure, la contribution de la femme haïtienne au sein de notre société mais on est sceptique que cette fête est l’occasion de poser leurs vrais problèmes. Il nous incombe aujourd’hui de rappeler l’apport de la femme haïtienne à la révolution de 1804.Il nous impose de regarder les conditions socio-politico-économique et culturelles de la femme haïtienne en ce jour de la fête des mères. Les rapports et interventions de plusieurs organismes internationaux nous vont servir de référence peu de données statistique sur la réalité sociale haïtienne nous seront bienvenues à faire le point. La contribution de la femme à la révolution haïtienne de 1804 projette une prise de vue spécifique sur la femme haïtienne. Les nommes sanite Bélair, Claire Heureuse, Cécile fatiman, Catherine Flon, Marie sainte Dédée Bazile ont apporté chacune des apports considérable pour concrétiser la révolution haïtienne. Considérons la femme de Charles Bélair. Pendant la période expèdionnaire sur Toussaint, elle a passé de grade sergent à lieutenant dans l’armée indigène. L’histoire la retient comme l’héroïne qui a stimules leur frère d’arme dans les montagnes de l’Artibonite à prendre les armes contre les forces expéditionnaires sous la houlette de Leclerc en août 1802. De ce fait, elle et son mari Charles Bélair furent arrêtés suite d’une dépêche de Leclerc. Ainsi, le Charles Bélair a été fusillé en date du 5 octobre 1802 et sanite Bélair par la suite. Quant à Cécile Fatiman, elle, la femme qui a plongé le couteau dans la gorge du cochon noir au congrès du Bois caïman le 14 Août 1791.selon l’histoire le sang recueilli fut distribué à boire aux différents participants. Ce sang à consolider et électriser les esclaves jusqu’à réussir la révolte de du 21 au 22 août 1791 à Saint-Domingue. Tandis que l’impératrice Claire Heureuse est considéré aujourd’hui comme la première infirmière D’Haïti pour la qualité de service qu’elle a rendu au cours de la révolution. Elle est celle qui soigne les blesses et nourrir les affames tout au cours des combats ayant abouti à la révolution haïtienne de 1804. Aux enfants et aux femmes, Claire Heureuse distribua des vêtements, des vives, des médicaments. Elle a le cœur touchant. Elle est durement opposé à la politique dure de son mari. L’histoire a retenu qu’elle a sauvé le français Descortiilz en le cachant sous son lit. Entre autre, l’histoire a retenu la dénommée Marie sainte Dédée Bazile très connu sous le pseudonyme « défilée la folle ».Dédé est la pathétique colporteuse qui a amassé le reste du corps Dessalines assassine dans une embuscade au pont rouge érigé par Boyer, Pétion, Rigaud en date du 17 octobre 1806 et l'a déposé aux cimetières de Port-au-Prince. Tandis que l’héroïne Catherine Flon est celle qui a cousu le drapeau bleu et rouge à l’Arcahaie le 18 mai 1803 après Dessalines s’est décidé d’arracher la bande blanche du drapeau français. Donc, la femme haïtienne ont grandement contribue pour la fondation de la patrie haïtienne. elles ont besoin de considération par ce qu’elles sont des hommes et des considérations spéciales parce qu’elles ont contribué à faire de nous des haïtiens, peuple qui n’a que de fierté historique ancestrale jusqu’à date. Apres ces héroïnes, beaucoup d’autres femmes se battent pour la refondation de notre digne patrie. On ne veut pas en parler ici. On préfère de mettre la cape sur la fête des mères. Fête célèbre en honneur d’une catégorie de femme. On intéresse à ce qu’on fait ressortir les conditions dans lesquelles les femmes fête la fête des mères. On ne peut pas encore remonter à l’origine de la fête des mères en Haïti mais on constate que elle est revendiquée et célébrée plus par le secteur catholique. Par contre, si on peut monter à l’origine première. En fait, c’est à partir des honneurs fait a Cybèle, mère de Zeus dans la mythologie grecque cette eut pris naissance. Toutefois, c’est en 1908 que les USA ont commencé par célébrer cette fête sous le patronyme « fête des mères » en mémoire Anne Marie Jarvis qui a courage le gouvernement a américain a adopté officiellement cette fête. Tandis que le Royaume-Unis, l’Allemagne l’ont respectivement adoptée en 1914, en 1923. Cette fête a une porte très commerciale dans les pays riche. par exemple aux USA, on a dépensé 24 milliards de dollars pour célébrer cette fête. Elle est toujours l’occasion de vœux, de cadeaux aux mamans en Haïti comme bien d’autres pays. Mais cette fête passe toujours comme une lettre à la poste. On n’en profite pas pour poser le problème sérieux des mamans, des femmes. Sans Pour autant ignorer que certains ont déjà résolu quelques grandes difficultés qu’encourt la femme. On n’est encore inconscient qu’on fête la fête des mère pendant que la situation de la femme est accablante. A ce beau jour de la fête des mères, la femme haïtienne éprouve de sérieux problème qu’on devrait mettre sur le tapis. D’abord en Haïti on n’ a pas encore recueilli assez de données en ce qui concerne la situation de la femme. On ne peut pas mentionner le nombre de femme violée. On est incapable de déterminer les degrés de participation de la femme dans les affaires publiques, les organisations socio-professionnelles. On n’a pas de chiffre en ce qui concerne le taux de mortalité de la femme en Haïti. On n’a pas vraiment informé des conditions de vie domestique de la femme. Le moindre service juridique à la disposition des femmes qui existent concerne seulement les grandes juridictions. Les sections communales en sont dépourvues. On s’y reste. Par contre, selon une étude menée par l’ONU-FEMME en janvier 2011 en Haïti, 42% des ménages sont dirigés par des hommes. Et selon un recensement de l’IHSI en 2003, la moitié de la population haïtienne est femme. Par ailleurs, une dernière étude menée par l’ONU admet que 70% des femmes subissent de violences physiques ou sexuelles durant leur vie. Toutefois, ces données ne représentent que la pointe de l’iceberg tant que la situation de vie accablante des femmes a besoin de documenter. Cette situation ne vient pas de soi. Elle résulte d’un manque d’engagement citoyen et de l’Etat. Plusieurs croirent que la violence faite aux femmes est une question féminine. Tandis qu’il s’agit d’un problème social, politique, économique, culturel qui doit interpeller tous. Selon certaines cultures, il est normal de dominer les femmes, de priver les femmes de l’éducation, de formation professionnelle…Ces éléments culturels la sont à bannir. Ceci fait de la femme un objet entre les mains de certains hommes a mentalité coloniale. Ensuite l’Etat légifère peu à propos de cette situation. la moindre loi adoptée n’est pas vraiment en application. Cela veut dire qu’il n’a pas de sévérité en ce qui concerne la violence faite aux femmes. Pour peu, c’est quelques causes de la situation accablante de la femme. En ce beau jour de fête des mères, on veut rappeler aux haïtiens et au monde que la situation de la femme haïtienne est un facteur causal du sous-développement en Haïti. Si les statistiques de 2003 montrent que la moitié de la population est femme alors la moitié du pays est encore dans une situation infrahumaine. Ci-inclus la situation de précarité de deux sexe, le pays a raison d’être encore plus pauvre du continent. A raison que nous vivons dans une société déséquilibrée, d’exclusion, de domination. A raison que les familles sont autant fragiles en absence du père. Par contre des décision sont en train de prendre à l’échelle international pour pallier cette situation accablante sur le plan global. Ainsi, en date du 24 novembre 2009, Ban Ki Moon, dans la lutte de l’ONU pour l’émancipation des femmes, a lancé le Réseau des Leaders des Hommes auquel on trouve Desmond Tutu. Ce réseau a pour mission de sensibiliser le monde sur la nécessite de respecter et protéger les femmes. Par ailleurs en 2000 l’ONU a pris la résolution de 1325 réclamant une étude de l’impact des guerres sur les femmes et la participation des femmes dans les résolutions de conflit dans le monde. Ainsi, des programmes de recensement des données concernant la violence faite aux femmes sont réalisés en 2009. Tandis qu’en Haïti on vient de ratifier une loi concernant la paternité responsable et l’admission du quota de 30% de femmes dans les postes de décision. Toutefois, l’Etat est appelé à légiférer sur l’avortement, l’équité de genres, sur la violence faite aux femmes, sur possibilité pour la femme de recevoir une éducation de qualité et capable d’accéder à des postes de décision.

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