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lundi 8 juin 2015

Le problème de santé en Haïti: un défi majeur pour les haïtiens et les bailleurs de fond


Depuis des décennies le problème de santé en Haïti demeure un cas majeur dans le sens d'un cible pour certain qui l'utilise pour faire de l'argent, tant tôt du coté des ONG, tant tôt du coté des politiciens. Haïti au rend mondial est classé très haut avec 48% produit par MNT (maladie non transmissible) par an et une population de 70 % de jeunes, âgés de 15 à 30 ans et 20 % de la population est âgé de 45 ans. La question a posée comment le soin de santé s'organise-t-il dans le pays ? Selon une source de l'oms (organisation mondiale de la santé) a estimé que les MNT (maladie non transmissible) sont à l’origine de 48% de tous les décès faites en Haïti et la mortalité produit par différente maladie sont: Traumatismes 9%, Maladies cardiovasculaires 24%, Affections transmissibles, maternelles, périnatales et nutritionnelles 42%, Cancers 7%, Affections respiratoires chroniques 1%, Diabète 5%, 12% mais le plus dur c'est dans l'état ils sont morts, le plus souvent c'est un problème de soin, de médicament qui sont parfois arrivé trop tard en raison d'un parcoure qui, ont estimé trop loin, ce qui raconte les médecin et pharmaciens qui n'ont pas pu trouver les médicaments en raison du pays d'ou ils proviennent, un problème de distance, des fois d'autre problème sont arrivés. Un patient témoigne la cherté des médicaments que les pharmacies semblent utilisée pour faire du marché noir ou vendu à un prix exorbitant. Le taux de mortalité infantiles Haïti affiche le taux de mortalité maternelle le plus élevé de l’hémisphère occidental. Dans ce pays, une femme a, durant les années où elle est fécondée, une probabilité sur 37 de mourir de causes liées à la maternité. La mortalité des enfants est trois fois supérieure à la moyenne de l’Amérique latine : les moins de cinq ans courent un grand risque de contracter une maladie évitable, telle que la diarrhée ou la pneumonie. Par contre, Les obstacles à une quantité minimum de santé semblent si énormes et si complexe qu'il est presque impossible pour un seul médecin pour avoir une quelconque influence sur leurs effets. Mais si nous prenons un point de vue plus modeste de ce que signifie la santé, peut-être que nous pourrions être en mesure de transcender les complexités de la maladie et offrir une mission très pratique pour la médecine moderne. "Cette mission a été définie plus clairement par un médecin français, Georges Canguilhem, dans son ouvrage de 1943, Le normal et le pathologique. Canguilhem a rejeté l'idée qu'il y avait des états normaux ou anormaux de la santé. Il vit santé pas comme quelque chose de défini statistiquement ou mécanique. Plutôt, il a vu la santé comme la capacité à s'adapter à son environnement. La santé n'est pas une entité fixe. elle varie pour chaque individu, en fonction de leurs circonstances. La santé est définie non pas par le médecin, mais par la personne, selon ses besoins fonctionnels. Le rôle du médecin est d'aider l'individu à adapter leurs conditions prévalant uniques. Cela devrait être le sens de «médecine personnalisée». Dit: le professeur Tarun Khanna (Harvard Business School) de Harvard University dans son cour d'entrepreneurial et les soins de santés dans une économie émergente. Haïti, souvent appelé terre de la liberté  mais serait-ce important de parler de la liberté tant que nous sommes fourrés dans cette bourbier que nous salissons nos mains pour survivre en détruisant les autres que nous appelons frères, sœurs. Pourquoi vendre des médicaments expirerez, des choses destructives juste parce que vous puissiez faire des millions mais a quoi ca sert d'avoir des millions pourtant dans votre milieu vous vivez avec inquiétude ? A quoi ça sert d'être médecin si vous ne faites pas votre travail, si les patients meurent dans votre hôpital ou celle que vous dirigerez ? A quoi ça sert d'être médecin de laisser des personnes meurent pour des raisons économiques ? Vous qui êtes médecin, vous êtes appelé à sauver des vies mais pas les détruites. C'est la raison pour laquelle le problème de santé dans le pays se déprave de jour en jour. Des médecins qui ne remplissent pas leurs tâches, des gens qui ne savent rien dans le domaine qui vendent des pilules n'importe comment et n'importe ou sans avoir aucune conscient humaine pour voir que c'est un délit. Les services de santé souffrent également du manque d’efficacité du personnel qui découle de la surcharge de travail, de l’insuffisance des formations et de la faiblesse des rémunérations. Il faut une approche nouvelle pour remédier à tous ces problèmes. Pour résoudre ce problème il faut que le ministère de la santé publique ait un contrôle permanant sur le flot de médicament qui rentre dans le pays et mettre un système afin de permettre que les médicaments arrivent à temps aux patients pour éviter trop de décès. Néanmoins, pour y parvenir, tant le gouvernement haïtien que ses partenaires donateurs devront assumer leurs responsabilités respectives, faire preuve d’audace et prendre des risques calculés. L’État doit réformer la fonction publique, exercer pleinement son leadership et lutter contre la corruption. Parce qu'on ne peut pas vivre dans un pays la ou il y a peu d'hôpitaux et de clinique et que après 3h30 Pm tout ce ferment, pas de soin après ces heures la. Ce n’est pas possible. Si nous voulons résoudre ce problème de mortalité, il faut penser à ca aussi. Imaginons une personne a un problème aux environs de 4h Pm le temps pour trouver les cliniques et hôpitaux qui sont ouverts la personne pourrait déjà mort. Forte de quoi? Forte de disponibilité des médecins, soucier a aller aux plaisirs ou aller se détente cause des milliers de mort par an.il faut que ca change, on ne doit pas vivre dans cette situation. Les partenaires, eux, doivent adopter une vision à long terme, à savoir mettre à disposition des ressources permettant de renforcer la gouvernance et faire preuve de fermeté face au refus des compromis et aux faux-fuyants. Il est aussi nécessaire d’apporter un financement direct afin que les pouvoirs publics puissent jouer leur rôle de régulateur et de gestionnaire. En plus de faire des émissions radio et télévision afin de former et d'informer la population sur comment utiliser ce système et des mesures à prendre au cas où il y a un problème de santé auquel ils font face, d'organiser des séminaires avec des organisations nationales pour former les gens qui vivent dans endroit éloigner, de créer des centres de santé par tout dans le pays. Patrick JEAN BAPTISTE

Les Présidents Dominicains D’Origine Haïtienne


L'antagonisme qui oppose la République Dominicaine à Haïti n'a jamais pu briser les liens d'ascendance qui se sont inscrits dans les annales de l'histoire de ces deux presqu'iles. Ils sont sous-estimés d'abord par les historiens dominicains qui prêtent souvent un serment d'allégeance à l'anti-haïtianisme, une vielle doctrine indépendantiste reconduite et nourrie par les gouvernements rancuniers de Pedro Santana, Ulysse Heureaux, Raphael Trujillo, Joaquin Balaguer et même par le gauchiste pollué Leonel Fernandez. Ces historiens de la partie de l'Est se veulent plutôt un nom dans la diabolisation de la présence haïtienne en territoire voisin, décrivant le journalier haïtien comme un sous-homme. Dans ce rang de stylos partiaux, on retrouve les Frank Moya Pons, Roberto Cassá, Bernardo Pichardo et Bernardo Vega, pour en citer un iota. À l'opposé, certains historiens haïtiens, gonflés d'orgueils et peut-être par souci de grandeur ou par ignorance, se sont gardés d'écrire cette belle page d'histoire. Ces écrivains haïtiens retracent uniquement les accrochages transfrontaliers comme la Campagne de l'Est, le massacre odieux d'octobre 1937 et les litiges sur les clôtures mitoyennes des deux républiques. En effet, seule la face obscure de l'histoire de l'Ile soit connue. Ce sont les idéaux destructeurs qui ont survécu les ans. Alors que rien au monde ne peut venir à bout de cette vérité historique : quatre présidents dominicains sont d'origine haïtienne. Pedro Santana PedroSantanaPedro Santana 1er President DominicainNé à Hinche, le 29 juin 1801, d'une famille haïtienne de descendance espagnole. La révolution de 1804 a contraint ses parents à l'exil en République dominicaine et se sont installés dans le Cibao en 1805. Là-bas, ils continuent de s'adonner à l'élevage qu'ils commençaient déjà en Haïti car ils avaient perdu plusieurs troupeaux de bétail durant la période révolutionnaire. Pedro Santana n'oublie jamais cette perte et se voulant une vengeance. Sa langue maternelle, le créole, lui a placé à la tête du Bataillon-Sud de l'Armée dominicaine qu'il a rejointe sans tarder. Devenu par la suite le premier président constitutionnel de la jeune république en 1844, Santana a dirigé avec une main de fer et a combattu toute tentative haïtienne de réoccuper l'orient de l'Ile. Ulysse Heureaux Né à Puerto Plata, le 21 octobre 1845, d'un père haïtien, Dassas « Desse » Heureaux qui avait fui aussi la révolution haïtienne de 1804. Dassas était le fils d'une esclave noire et d'un planteur blanc. Josefa Lebert, la maman de Ulysse Heureaux, était de l'ile de Saint Thomas. Desse Heureaux n'avait pas pris soin du petit Ulysse (Lili). À cet effet, il a connu une enfance misérable et rurale. En 1863, quand l'anti-americain Gregorio Luperon a pris d'assaut la caserne de Puerto Plata afin de regagner la souveraineté dominicaine foulée par l'Oncle Sam, il était membre des enrôlés de rue et prenait une part active. Le 1er septembre 1882, il est devenu président. Lili était un feint créolophone. Il n'avait pas eu de traducteur lorsqu'il devait signer des accords militaires stratégiques avec le président Florvil Hyppolite, en 1891. Raphael Leonidas Trujillo Rafael TrujilloRaphael Leonidas TrujilloTrujillo était le fils légitime du dominicain Jose Trujillo Valdez et de l'haïtienne, Julia Molina Chevalier. Il a vu le jour, le 24 octobre 1891 à San Cristobal. Les chevaliers ont pris l'exil en territoire voisin suite aux turbulences opposant les libéraux aux nationaux qui ont secoué Haïti, après l'assassinat du président Sylvain Salnave en 1869. D'ailleurs, le général Victorin Chevalier, membre influent de cette famille, était Ministre de la Guerre et de la Marine du gouvernement de Salnave du 6 septembre 1869 au 6 novembre 1869. La mère de Trujillo lui avait expliqué les péripéties qu'avaient connues ses ancêtres en Haïti. En particulier, la nationalisation et la redistribution de leurs biens jugés mal acquis par le gouvernement de Lysius Salomon, en 1879. Ce qui avait provoqué une partie de la haine du dictateur contre les haïtiens, en particulier les noirs. Trujillo est devenu président en 1930. Il a massacré plus de 30 000 haïtiens en octobre 1937. Joaquin Balaguer Joaquin Balaguer 1977Joaquin Balaguer est né d'un père porto Ricain, Joaquin Balaguer Lespier et d'une mère dominicaine, Carmen Cecilia Ricardo, le 1er septembre 1907, à Navarette, à deux pas de Santiago de los Caballeros. Sa grand'mère maternelle, Rosalia Heureaux, était la fille du président Ulysse Heureaux. Rosalia a vécu une bonne partie de sa vie loin des yeux, après l'assassinat de son père en 1899, à Moca. Joaquin Balaguer était président de la République Dominicaine de 1961 à 1996, sous des mandats intermittents. Gradué politique de l'École de Trujillo, il était l'antihaitien le plus connu avant Leonel Fernandez. Il était aussi le conseiller sanguinaire du massacre de 1937, étant sous-secrétaire d'État des Affaires Étrangères. En d'autres verbes, Haïti qu'on méprise sans répit en territoire dominicain, a pourtant occupé la genèse de l'histoire de cette nation ibéro-africaine, à travers les gonades des aïeux. Même si seule la réputation de mauvais occupant reste, la loi de consanguinité prévaut. Les archives binationales ont bien avili Santana, Heureaux, Trujillo et Balaguer qui ont préféré se faire passer uniquement pour des descendants espagnols. source:touthaiti

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