Rechercher dans ce blog

vendredi 19 juin 2015

Saint-Nazaire : première sortie réussie pour le plus gros paquebot du monde


Avec ses 362 mètres de long et ses 66 mètres de large, il est tout simplement le plus gros paquebot du monde. Au petit matin du 18 juin, « l’Harmony of the Seas », en construction aux chantiers navals STX de Saint-Nazare (Nantes), a pu effectuer son baptême de l’eau. Avec succès. Il est 6h30. La mer est calme. Et si quelques curieux s’impatientent, ce n’est pas pour piquer une tête mais bien pour voir la première sortie de « l’Harmony of the Seas » qui n’est autre que le plus gros paquebot du monde. Sa coque terminée, l’imposant bâtiment a fait sa première sortie pour rejoindre un autre bassin. Actuellement en construction aux chantiers navals STX de Saint-Nazaire (Nantes), le paquebot, fiers de ses 362 mètres de long et de ses 66 mètres de large, est tout simplement le plus gros du monde. Au matin du 18 juin, il effectuait sa première mise à l’eau. Une entreprise couronnée de succès pour ce géant des mers. Huit remorqueurs C’est donc vers 6h30 du matin que « l’Harmony of the Seas » a passé son premier test aquatique. Une mise à l’eau qui a nécessité le concours de huit remorqueurs. Mais le paquebot de croisière n’est pas encore terminé : il reste encore les travaux d’armement et d’aménagements intérieurs à mettre en place, soit l’équivalent d’un an de travail. source: Yahoo.fr

2015 : le mois de mai le plus chaud de l’histoire


Chaud. Le mois de mai 2015 a battu tous les records de température depuis le début des relevés Il y a 135 ans. Inquiétant. Le coup de chaud du mois de mai n’était visiblement pas une exception française. Selon une étude de l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), ce mois de mai 2015 est le plus chaud de l’histoire, en tout cas depuis l’apparition de la collecte des données c’est-à-dire en 1880. De quoi faire réfléchir a quelques mois de la conférence sur le climat à Paris. Presque un degré de plus Selon cette étude, la température moyenne à la surface du globe (océans et terres) a été en mai 0,87 degré au-dessus de la moyenne du siècle précédent pour ce mois, soit le plus élevé pour la période de 1880 (date du début des collectes) à 2015. Ce triste résultat dépasse de 0,08 degré le précédent record établi l’année dernière, en 2014, précise la NOAA. L’effet sur la fonte des glace est lui aussi flagrant dans l’Arctique, la superficie moyenne de la banquise était en 2014 de 5,5% inférieure à la moyenne de la période 1981 à 2010. En revanche, dans l’Antarctique la superficie des glaces a été en mai 12,1% au-dessus de la moyenne de 1981 à 2010. Il s’agit aussi de la plus grande étendue des glaces antarctiques pour ce mois dans les annales, surpassant le précédent record de mai 2014. Une tendance récurrente Un processus de réchauffement qui n’est malheureusement pas isolé, déjà l’année 2014 avait été l’année la plus chaude jamais observée en France. La température moyenne avait affiché une hausse de 1,2 degré. Et 2015 est bien partie pour confirmer cette tendance récurrente, selon la NOAA, la moyenne des températures sur les 5 premiers mois, de janvier à mai, est elle aussi en hausse. source: yahoo.fr

Le fils de Michael Jack­son ne supporte plus son prénom


Blan­ket Jack­son devient Bigi Jack­son Pas toujours facile d'être le fils de Michael Jack­son. Encore moins lorsque l'on se prénomme Blan­ket. Face aux moque­ries, le fils de Michael Jack­son a fina­le­ment changé de prénom. Lorsqu'il s'agit de trou­ver un prénom à leurs enfants, les stars plané­taires ont parfois des goûts un peu spéciaux. Comme si l'idée que leurs descen­dants partagent le nom de milliers d'incon­nus était insou­te­nable. Cela donne par moments des résul­tats plutôt embar­ras­sants. Le plus jeune fils de Michael Jack­son peut en témoi­gner. Il vient de chan­ger de prénom. Tech­nique­ment parlant, le petit frère de Paris et de Michael Joseph est né Prince Michael Jack­son II. Cepen­dant, son père a eu la brillante idée de lui prou­ver son amour en le surnom­mant « Blan­ket ». Un joli sobriquet qui signi­fie tout simple­ment « couver­ture » et qui a collé à la peau du jeune homme de 13 ans. « Il a toujours trouvé que ce nom était stupide et il en a beau­coup voulu à son père de l'appe­ler ainsi », témoigne une source du site Radar Online. Selon elle, Blan­ket ne supporte plus ce surnom. « En gran­dis­sant, ses cama­rades de classe ont toujours été un peu jaloux de qui il est, et ont donc profité du prénom Blan­ket pour le ridi­cu­li­ser. », ajoute la source. Une situa­tion diffi­cile à vivre face à laquelle Blan­ket a donc trouvé une solu­tion radi­cale. En arri­vant dans son collège, en Cali­for­nie, le jeune homme a « changé son nom, de manière infor­melle, de 'Blan­ket' à 'Bigi' parce qu'il ne voulait plus que l'on se moque de lui ». Dans le livre de fin d'année de son établis­se­ment, le jeune homme appa­raît donc sous le nom Bigi Jack­son. Ne voyez cepen­dant là aucun hommage au rappeur décédé Noto­rious BIG, souvent surnommé Biggie. Blan­ket aurait en fait choisi ce prénom car il est issu d'un mot germa­nique signi­fiant « idéa­liste, sensible et inspi­rant ». Pas certains que ce choix lui permette de passer plus inaperçu à l'avenir. source: gala.fr

Jamy Gourmaud : histoire d’un faux coming out


Jeudi, dans un message posté sur un compte Facebook à son nom, Jamy Gourmaud révélait son homosexualité. Mais l’animateur a très vite démenti la rumeur et s’est dit victime d’un canular qui l’a néanmoins amusé. Des expériences, Jamy Gourmaud en a réalisées un grand nombre et dans quasiment tous les domaines dans son émission de vulgarisation scientifique C’est pas sorcier. Mais celle qu’il a vécue jeudi était inédite pour l’animateur. Dans l’après-midi, sur un compte Facebook à son nom, un message disait : « Bonjour, à tous, afin de devancer la parution de tout article non approprié à mon égard, en toute pudeur, je souhaite annoncer que je partage ma vie avec un autre homme et que nous avons décidé de nous unir prochainement devant la loi... ». Aussitôt, les réseaux sociaux se sont emparés de l’information, la relayant à l’infini et transmettant des messages de félicitations à Jamy Gourmaud, dont beaucoup pensaient qu’il avait imité son collègue de M6 Alex Goude, qui a réalisé son coming out dans le magazine Gala en mai dernier. Mais il s’agissait en fait d’un mauvais canular. Jamy Gourmaud alerté par le buzz et contacté par certains médias a vite démenti l’information déjà reprise par le site de Têtu. Selon France TV Info, l’animateur de C’est pas sorcier s’est amusé de l’histoire et a déclaré : « Je suis marié depuis 17 ans avec une charmante femme, mère de mes deux enfants. Cette page est un fake. » Il ajoute : « Je regrette que, dans ce genre de situation, ils ne prennent pas la peine de décrocher leur téléphone pour vérifier, c'est dommage. » Jamy Gourmaud reste philosophe et conclut : « Ça me fait toujours rire ce genre de choses. » Jamy Gourmaud, âgé de 51 ans, vit avec Manuela depuis 24 ans. Ensemble, ils ont eut deux enfants, Alex et Oscar, qui sont « âgés d’une vingtaine d’années » et se destinent tous les deux à « des carrières scientifiques ». Têtu ne s'est pas excusé, mais a publié sur son site un message qui prend note du démenti. «Têtu.com, qui avait un temps présenté (...) Lire la suite sur gala.fr source: yahoo.fr

Pourquoi autant d’adolescents de Palo Alto se suicident


Dans cette ville de la Silicon Valley, onze lycéens se sont donné la mort en six ans. Des drames qui révèlent les souffrances des adolescents de cette communauté d’élites. En cette matinée du lundi 9 mars, comme tous les matins, Ryan Reed, 17 ans, se rend à son lycée de Palo Alto à vélo. En franchissant le passage à niveau du Caltrain, le train qui longe son école et relie San Francisco, au nord, à Gilroy, au sud, coupant à travers la Silicon Valley, il remarque des caméras de télévision et des voitures de police le long des voies. Le train roule à vitesse réduite, ce qui n’est pas normal en heure de pointe. Lorsqu’il arrive à l’école, il comprend immédiatement qu’un drame vient de se produire. Un élève de son lycée s’est suicidé quelques heures plus tôt, en se jetant sous le train. Dans les couloirs, « des étudiants en pleurs sont en train de se faire consoler par des professeurs et leurs amis. La scène est horrible, surréaliste », décrit Ryan Reed. Cette scène, les lycéens de Palo Alto l’ont vécue trop de fois. Qingyao Zhu, l’adolescent de 15 ans qui a mis fin à ses jours au petit matin du 9 mars est le deuxième lycéen de la ville à s’être suicidé cette année. Dans une vidéo réalisée en sa mémoire et postée sur YouTube, un ancien camarade de classe le décrit comme « un garçon discret qui travaillait dur à l’école, mais aimait s’amuser. Il aimait entre autres le football, les dessins animés et les Pokémon. » La vidéo compile des images de « Byron », son surnom, en train de jouer au foot pour son équipe des Palo Alto 99B White : « J’espère que cela va montrer que tu n’étais pas simplement une autre victime, mais une personne à part entière avec un cœur, une famille et des amis. Merci pour tout Byron. Perdu mais pas oublié. » En six mois, ce sont quatre élèves des deux lycées publics de la ville, Palo Alto High School (surnommé « Paly ») et Gunn High School (ou Gunn), qui se sont donné la mort. En six ans, ce chiffre s’élève à onze, dont cinq entre mai 2009 et janvier 2010. Dans près de 90 % des cas, les adolescents se sont jetés sous le Caltrain. Sans parler des tentatives qui n’ont pas abouti : rien qu’entre août 2014 et avril 2015, 52 élèves du lycée Gunn ont dû être hospitalisés ou placés sous traitement du fait de « sérieuses idées suicidaires ». Derrière le vernis doré de Palo Alto, berceau de la Silicon Valley où vit l’élite de la société américaine, se cache une sombre réalité : celle d’une ville où le suicide d’un adolescent est trop souvent réduit à un simple numéro. Les suicides « sont presque devenus une routine », commente Danielle, élève à Paly. « Je sais comment chacun de mes professeurs va réagir lorsque cela se produit, et je trouve cela tragique. » « Nuage toxique » du système éducatif La presse locale puis nationale s’est largement fait l’écho de ces drames, tentant de les expliquer. Qu’est-ce qui pousse un adolescent à mettre fin à ses jours ? Qu’est-ce qui pousse onze adolescents de la même communauté à décider que la vie ne vaut plus d’être vécue ? Chacun y va de sa propre interprétation : les uns blâment la pression académique, les autres fustigent les parents, ou bien les professeurs, les derniers rappelant que certains de ces élèves souffraient de maladies mentales. La vérité, comme souvent, est plus complexe, chaque cas est particulier. « Le suicide est un acte extrême, qui se produit très rarement. Il est très difficile de comprendre pourquoi quelqu’un se suicide. La réalité, c’est qu’on a beaucoup de mal à comprendre pourquoi une personne va se suicider, alors qu’une autre, qui présente les mêmes facteurs de risques n’empruntera jamais cette voie », explique Anna Mueller, sociologue spécialiste du suicide chez les adolescents. Lire l’entretien avec les sociologues Anna Mueller et Seth Abrutyn : « Savoir qu’un proche a fait une tentative de suicide bouleverse le monde d’un adolescent » A Palo Alto, le débat s’est rapidement focalisé sur la pression scolaire. De nombreux adolescents et parents de la ville de 66 000 habitants ont dénoncé les trop longues heures de devoirs après les journées de classe, les examens qui s’enchaînent et le culte de la performance. Ces quinze dernières années, « un nuage toxique s’est formé au-dessus de l’école, rendant la vie au lycée difficile », analyse Marc Vincenti, ancien professeur d’anglais à Gunn aujourd’hui à la retraite et à l’origine, avec une lycéenne de la ville, d’un projet qui veut changer le système scolaire. Savethe2008 (« Sauvez les 2 008 », en référence au nombre d’élèves et professeurs de Gunn), s’attaque en six points aux sources du « nuage » auquel il fait référence : du trop-plein de devoirs à l’effet nocif des téléphones portables, en passant par la tricherie omniprésente (certains parents sont prêts à tout pour que leurs enfants soient les meilleurs, même à payer des professeurs particuliers, en général des étudiants, afin qu’ils écrivent leurs dissertations). Marc Vincenti présente ses propositions depuis huit mois au comité municipal chargé de l’éducation. A ce jour, il n’a eu aucun retour. Du côté de l’administration, Ken Dauber admet que les changements dans le système éducatif tardent à se mettre en place. Des réformes réclamées à la suite de la vague de suicide de 2009 commencent à peine à voir le jour, et ce en partie en raison de la deuxième vague de suicides de cette année. « Nous avons augmenté les budgets alloués à la santé mentale dans nos établissements, ajouté des conseillers à la disposition des élèves, interdit les heures de classe commençant trop tôt », détaille ce salarié de Google de 52 ans, membre du comité municipal pour l’éducation, qui vit à Palo Alto depuis quatorze ans. Avant cela, les journées de cours pouvaient commencer à 7 h 20 au lieu de 8 h 25. « La question des devoirs à la maison est désormais prioritaire, et pas seulement à cause des suicides. Les études montrent que trop de devoirs n’aident pas à l’apprentissage. Tout comme d’autres recherches montrent que les classes commençant trop tôt le matin ne sont pas bénéfiques : les élèves ont besoin de dormir ! » Au-delà de la seule question de la pression scolaire, les récentes tragédies ont mis en lumière un déséquilibre plus global. « J’ai adoré grandir à Palo Alto, mais j’aimerais que certains aspects puissent être améliorés. Les gens devraient se focaliser davantage sur leur bien-être actuel, plutôt que futur. L’argent ne devrait pas être la seule mesure du succès », raconte Natalie Snyder, qui s’apprête à entrer en dernière année de lycée à Paly. Reproduction de l’excellence Ici, comme dans beaucoup de communautés similaires à travers le pays, les parents ont été éduqués dans les écoles les plus prestigieuses, lesquelles leur ont donné accès à des carrières brillantes leur permettant de maintenir à un niveau de vie élevé ou d’y accéder, et ils veulent que leurs enfants reproduisent ce parcours. Or, d’excellents résultats académiques ne suffisent pas. Pour accéder aux universités les plus réputées (comme Stanford, Yale, Harvard ou Berkeley), il faut aussi être le meilleur de son équipe de foot, jouer parfaitement d’un instrument, faire du bénévolat... Ces établissements recherchent un élève excellent au profil original. Les lycéens accumulent donc les activités extrascolaires afin d’améliorer leur dossier de candidature. Beaucoup mettent d’ailleurs en place une véritable stratégie : « Entre 15 et 18 ans, tout ce que tu fais est motivé par l’université », résume Theo Zaharias. A 18 ans, il s’apprête à boucler ses années lycée et à entrer à l’université George Washington, sur la côte est, dont il arbore fièrement le sweat-shirt blanc frappé de lettres bleues. Bon élève, il pense que le brevet de pilote d’avion qu’il a passé en parallèle de son cursus scolaire a largement contribué à lui faire gagner sa place dans cette université privée. De son côté, Carolyn Walworth, 17 ans, travaille depuis qu’elle a 14 ans à temps partiel dans un cabinet d’avocat, en plus de son emploi du temps de lycéenne, des cours de niveau universitaire qu’elle suit et de son activité de représentante des élèves de Palo Alto auprès de la municipalité. « Je pensais que commencer à travailler dès cet âge-là me permettrait de me différencier des autres étudiants », confie-t-elle à la terrasse d’un café en face de Paly. A son arrivée en première année de lycée, elle n’avait qu’un seul objectif en tête : entrer à Stanford, situé de l’autre côté de la route. « C’était la seule école qui allait me rendre heureuse. » Aujourd’hui, elle a revu ses ambitions, mais son stress n’a pas diminué. Elle avoue craquer nerveusement « environ une fois par semaine » : « J’ai parfois le sentiment d’être en échec parce que je n’arrive pas à tenir le rythme, alors que j’ai l’impression que les autres élèves y arrivent. A Palo Alto, on passe notre temps à essayer d’être meilleur que les autres. » Au lieu de le passer à grandir. « Réduits à notre bulletin de notes » Adam Strassberg, psychiatre et père de deux enfants scolarisés à Palo Alto, observe que la culture de la compétition est telle que les enfants ne sont pas habitués à s’écouter : « Ce que je vois, c’est qu’il y a de plus en plus de travail scolaire, de plus en plus d’activités extrascolaires et de moins en moins de temps libre pour se relaxer, socialiser et se développer dans d’autres directions. » Florence de Bretagne vit à Palo Alto depuis dix ans avec son mari et ses deux enfants. Cette ancienne parisienne ne tarit pas d’éloges sur la mentalité américaine. Ici, « tout est possible », assure-t-elle. En revanche, cette artiste peintre dont le mari travaille dans la high-tech n’adhère pas totalement au mode de vie de la Silicon Valley. « En tant que maman, je reste assez française dans mon éducation. Ici, vouloir le meilleur pour ses enfants passe par le fait de vouloir contrôler beaucoup de choses. Je pense qu’on ne laisse pas suffisamment aux enfants le temps d’être insouciants, de vivre dans l’instant présent. » Et Palo Alto n’est pas une exception. Ces dernières années, beaucoup de communautés similaires, où les adolescents sont promis à des carrières brillantes et très lucratives, ont traversé les mêmes drames. Dans la banlieue de Washington DC, la capitale des Etats-Unis, trois élèves se sont suicidés entre septembre et novembre 2014 ; au Massachusetts Institute of Technology (MIT), six étudiants se sont donné la mort ces quatorze derniers mois. « Le problème ne vient pas de notre communauté, mais plutôt du “culte de l’université”, qui nous réduit à un bulletin de notes », estime Ariya Momeny, 17 ans, élève à Paly. Ryan Reed continue d’aller au lycée à vélo, et à franchir tous les matins le passage à niveau du Caltrain. Selon lui, combattre les suicides passe par une remise en question « complète » du culte de l’excellence qui règne à Palo Alto. Enfin, presque, car l'excellence est aussi une fierté... « Placer haut la barre est une bonne chose – c’est ce qui fait de Paly et Gunn des établissements exceptionnels, avec de si brillants étudiants. Les parents et les professeurs doivent continuer à encourager les élèves, sans les briser. » Pourtant, est-il possible d’améliorer le bien-être des lycéens sans changer le système ? C’est la question à laquelle est confronté ce microcosme qui hésite à se réformer en profondeur, tant Source: Le monde

La BCE veut éviter des retraits d’argent massifs en Grèce


Après le nouvel échec, jeudi 18 juin, de l’Eurogroupe, la réunion des ministres de la zone euro pour partie consacrée à la Grèce, l’Europe « remet le couvert » vendredi 19 juin. Cette fois-ci, c’est la Banque centrale européenne (BCE) qui convoque, selon plusieurs sources européennes, une réunion téléphonique d’urgence en début d’après-midi. Au menu : l’état des banques grecques. Il y aura par ailleurs un nouvel Eurogroupe avant un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro, prévu lundi 22 juin. Selon ces sources, la BCE a été sollicitée par la Banque centrale de Grèce pour augmenter encore le plafond des « ELA » (emergency liquidity assistance), le programme de soutien financier d’urgence des banques grecques, dernier moyen de financement de l’Etat grec, qui ne peut plus lever de la dette à court terme sur les marchés financiers. Mais l’agence de presse ANA a démenti, jeudi 18 juin tard dans la soirée, l’information selon laquelle la Banque centrale grecque aurait demandé à la BCE une rallonge de 3 milliards d’euros de liquidités, grâce à une ligne d’urgence ELA. Lire aussi : Grèce : échec de l’Eurogroupe, réunion d’urgence de la BCE Ces derniers, jours, si on en croit les chiffres qui circulent à Bruxelles et à Athènes, les banques grecques auraient subi des sorties de capitaux plus fortes que d’habitude. Lundi 15 et mardi 16 juin, celles-ci se seraient élevées à 850 millions d’euros, selon le quotidien des affaires Kathimerini. Selon nos informations, ce sont 800 millions d’euros qui seraient « sortis » mercredi 17 juin et 1 milliard jeudi 18 juin. Ci-dessous, l’évolution des sorties de capitaux comparées en Grèce et à Chypre, avec l’effet de la mise en place du contrôle des capitaux à Chypre, début 2013 : Un contrôle des capitaux sera-t-il au menu, vendredi, de cette réunion d’urgence ? Selon l’agence Reuters, la question a été évoquée à l’Eurogroupe jeudi, le représentant de la BCE ayant répondu qu’il n’était pas sûr que les banques grecques pourraient ouvrir lundi 22 juin prochain. Cette information a été démentie par la BCE. Un scénario étudié depuis quelques jours Le scénario d’un contrôle des capitaux est étudié par les créanciers d’Athènes depuis déjà quelques jours. Il avait été évoqué jeudi 11 juin à l’Euroworking group, le groupe de travail préparatoire de l’Eurogroupe. Cette décision radicale permettrait, en limitant les retraits d’argent en Grèce, de préserver la solvabilité des banques hellènes. Cependant, une telle décision, politiquement lourde, est du ressort du gouvernement grec. C’est à lui, sur recommandation du gouverneur de la Banque de Grèce, de proposer cette mesure. Elle pourrait devoir être validée par le Parlement grec. En attendant, la BCE pourrait devoir prendre la décision d’augmenter à nouveau le plafond des ELA, ce qu’elle fait toutes les semaines ou presque depuis février et le début du bras de fer entre le gouvernement de la gauche radicale Tsipras et ses créanciers. Elle avait déjà relevé ce plafond mercredi 17 juin, de 1,1 milliard d’euros. L’institut de Francfort pourra agir ainsi, dans les jours qui viennent, tant qu’il estimera que le système bancaire grec est solvable. S’il ne l’est plus, il devra stopper ce programme, comme le lui imposent ses statuts. Source: Le monde

Clap de fin pour un E3 riche, mais sans révolution


Des jeux, des jeux, des jeux : en plein milieu du cycle de vie des consoles de salon, l’E3 2015, le plus grand salon professionnel du jeu vidéo, qui se déroule chaque année à Los Angeles, a très largement tourné autour des annonces de nouveaux titres. Un E3 « de relance », en somme, à la fois pour les constructeurs – Microsoft cherchant à rattraper le retard des ventes de sa Xbox One sur la PlayStation 4 de Sony – et pour les éditeurs. Au jeu des nouveautés, c’est Sony qui s’est largement distingué, grâce à… de vieilles séries. En annonçant coup sur coup le retour du jeu d’aventures mythique Shenmue, la sortie de l’Arlésienne The Last Guardian et un remake du jeu de rôle japonais culte Final Fantasy VII, Sony a réussi un véritable coup. Du côté de Microsoft, les annonces de cette édition 2015 étaient moins surprenantes, avec notamment Halo 5, le jeu emblématique de Xbox, et la suite de Gears of War. Mais chez Nintendo, c’était presque le calme plat, à l’exception d’un Star Fox Zero un peu décevant et du beaucoup plus réussi Super Mario Maker. Match des périphériques Le match entre Sony et Microsoft se joue aussi sur le terrain des périphériques. Microsoft montrait pour la première fois les capacités de ses lunettes de réalité augmentée HoloLens – une technologie simili-holographique qui « plaque » des éléments virtuels en 3D dans le champ de vision du joueur. Une démonstration très impressionnante avec le jeu Minecraft était présentée lors de la conférence Microsoft, mais aucune date de commercialisation n’a été évoquée, le casque n’étant qu’au stade de prototype technologique. Situation très différente pour le Morpheus, un casque de réalité virtuelle pour la PlayStation 4. Non seulement celui-ci sera commercialisé dans la première moitié de l’année 2016 (sa date et son prix devraient être annoncés en octobre), mais Sony a été en mesure de présenter un début de catalogue, avec des projets de jeux en cours de développement, essentiellement des expériences ludiques vouées à être appréciées en quelques minutes, a expliqué au Monde.fr Andrew House, le PDG de Sony Entertainment. De nombreux modèles de casques différents sont présents au Salon, mais tous les éditeurs, jusqu’au numéro 1, Electronic Arts, s’accordent à dire qu’il faut prendre le temps d’apprendre à concevoir des jeux adaptés. Il y a vingt ans, l’industrie du jeu vidéo, Nintendo et Atari en tête, s’était déjà cassé les dents avec des casques de réalité virtuelle. La révolution promise pourra bien attendre encore un an. Source: le monde

Come to join us at Mercaly

  Good morning Mercaly has just come to offer you some product that it has put online. We know you don't know much about us or what we...