Le problème de santé en Haïti: un défini majeur pour les bailleurs de fond

La santé est l'élément le plus précieux dans la vie de tous les êtres animés. Depuis des décennies la détérioration de la situation sanitaire en Haïti est préoccupante. Certains organismes internationaux et nationaux se montrent parfois très soucieux en ce qui concerne. Autre fois, les résultats demeurent de plus en plus catastrophiques. De ce fait, on peut se demander quelle place occupe Haïti d'aujourd'hui de l'échelle internationale en matière de santé? Quelle est la situation sanitaire en Haïti? Comment évolue-t-il ce secteur? La situation sanitaire s’exacerbe en Haïti. La dernière étude de l'OMS révèle qu'Haïti s'occupe 163 ème place en matière de santé dans le monde. Par ailleurs, la mortalité causée par les maladies non transmissible (MNT) s'affiche un taux de 48%. En temps, Haïti 5,9% infirmière ou médecin sont disposés pour 10 millions d'habitants. Tandis que la norme internationale admet 25 professionnels pour 10 000 habitants. C’est bien ce paramètre qui nous résulte les donnée suivante en matière de santé en Haïti: pour traumatisme, maladie cardiovasculaire, cancer, Diabètes... on a respectivement les taux de décès suivants: 9%, 24%, 7%, 5%, 1% plus spécifiquement, Haïti affiche le taux de mortalité maternelle le plus élevé de l'hémisphère occidental. En Haïti, pendant l'année de la fécondation, il est probable que sur 37% meurent. Tandis que la mortalité des enfants est trois fois supérieure de la moyenne de l'Amérique latine. Toute fois on est loin de faire une photographie rigoureuse de la situation de santé en Haïti. Pour autant, les causes de la situation désagréable des conditions sanitaires en Haïti sont multiples. L'apparition du cholera en date du mois d'octobre 2010 dans la région du plateau central a exacerbé les conditions de la vie sanitaire du peuple haïtien. Mais une carence infrastructurelle d'une part est factorielle de l'état de santé déplorable d'Haïti. Les Hôpitaux ne sont pas décentralisés. Les sections communales en sont dépourvues. Tandis que les lieux ou érigent les hôpitaux sont très distanciés par apports à certains nécessiteux. D’autre, les hôpitaux n'ont pas souvent au temps de personnels qualifiés et disponibles pour ausculter les patients. Par ailleurs, les patients parfois ne peuvent pas répondre toujours au coût de santé. Cela veut dire que le facteur économique est à considérer dans un pays ou chaque individu vit avec 2$ chaque jour. Il est intéressant de signaler aussi que la qualité des agents de sante n’est pas satisfaisante. Certains misent parfois sur les écoles qui forment les agents de santé. D’autre remettent en questions les compétences qui enseignent certains personnels tant que certains savent très bien les missions qui leurs ont été confiés. En à propos Georges Canguilhem a dit que la santé est définie non par les médecins, mais par la personne, selon ses besoins fonctionnels (Canguilhem Georges, 1943, le Normal et le pathologique). Et croit que le rôle du médecin est d'aider l'individu à adapter leurs conditions prévalent uniques. Au vu et a sur de tous la situation est déplorable. La moindre complication est compromettante sur la santé de nos frères et sœurs Haïtiens. On peut arriver d'un stade de complication ou l'on est dépassé de l'événement jusqu'a demandé concours international. Par contre, si on considère l'enveloppe budgétaire alloué au ministère de la santé en 2013, on peut dire qu'on est loin de remédier la situation internationale. Toute fois, on applaudi le programme d'assurance maladie lancée à l'OFATMA en date du 23 décembre 2014 bien que les efforts à faire reste encore immense. Ainsi, L'Etat Haïtien doit prendre des mesures sérieuses pour remédier la situation. Les enveloppe budgétaire et la feuille de route du ministère doit réviser. Plus de faculté de médecin et bien équipé de matériel doit construire un cursus universitaire doit réélaboré. Des compétences sérieuses doivent requises aux espaces universitaires. Des personnels de santé doit bien rémunèrent à temps. L'Etat doit mettre en place des activités de génératrice d'emploi pour augmenter de pouvoir d'achat pour permettre aux gens d'avoir la demande. Les services hôpitaux doivent déconcentrer. Les partenaires, eux, doivent adopter une vision à long terme, à savoir mettre à disposition des ressources permettant de renforcer la gouvernance et faire preuve de fermeté face au refus des compromis et aux faux-fuyants. Il est aussi nécessaire d’apporter un financement direct afin que les pouvoirs publics puissent jouer leur rôle de régulateur et de gestionnaire. En plus de faire des émissions radio et télévision afin de former et d'informer la population sur comment utiliser ce système et des mesures à prendre au cas où il y a un problème de santé auquel ils font face, d'organiser des séminaires avec des organisations nationales pour former les gens qui vivent dans endroit éloigner, de créer des centres de santé par tout dans le pays. PATRICK JEAN BAPTISTE

En Guise de la Fête, Réfléchissons-nous

L’humanité est sans appel pour le peu d’attention déjà accordé aux situations de la femme dans le monde. Le temps moderne a facilité l’ascension le peu qu’il soit la femme dans le monde. Dans plusieurs pays, elles s’occupent le devant de la scène. Plusieurs institutions internationales, régionale, nationale et même locale sr sont dresses en défenseur de leurs causes. Plusieurs résolutions adoptent des dates officielles annuelles pour leur célébrité .Des mois leur sont destinés. En effet, sur le plan global, elles ont réalisé de sérieuse conquête en ce qui concerne le respect des droits de la femme.
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 Les différentes activités du mois de mai sont célébrées en honneur de la femme. En Haïti comme certains d’autres pays la fête des mères célèbre au mois de mai. Mais cette fête célèbre dans des conditions socio-politico-économiques spatiales différentes. Quoiqu’ il y a autant de propagande à-propos du respect du droit de la femme, en Haïti cela se fait constamment. Pendant ce temps, nulle discussion sur la prouesse, la contribution de la femme haïtienne au sein de la société contemporaine .Par contre on est sceptique que cette fête soit l’occasion de poser leurs vrais problèmes. Il nous incombe aujourd’hui de rappeler l’apport de la femme haïtienne ả la révolution de 1804. Il nous impose de regarder les conditions socio-politico-économiques et culturelles de la femme haïtienne en ce jour de la fête des mères. https://www.mercaly.com/

 Les rapports et interventions de plusieurs organismes internationaux nous vont servir de référence. Le peu de données statistique sur la réalité sociale haïtienne nous seront bienvenues à faire le point. La contribution de la femme à la révolution haïtienne de 1804 projette une prise de vue spécifique sur la femme haïtienne. Les dénommés sanite Bélair, Claire Heureuse, Cécile fatiman, Catherine Flon, Marie sainte Dédée Bazile ont apporté chacune des apports considérable pour concrétiser la révolution haïtienne. Considérons la femme de Charles Bélair, Sanite Bélair. Pendant la période expéditionnaire sur Toussaint, elle a passé de grade sergent à lieutenant dans l’armée indigène. L’histoire la retient comme l’héroïne qui a stimulée leurs frères d’arme dans les montagnes de l’Artibonite à prendre les armes au détriment des forces expéditionnaires sous la houlette de Leclerc en aout 1802. De ce fait, elle et son mari Charles Bélair furent arrêtés suite d’une dépêche de Leclerc. Ainsi, le Charles Bélair a été fusillé en date du 5 octobre 1802 et sanite Bélair par la suite. Quant à Cécile Fatiman, elle la femme qui a plongé le couteau dans la gorge du cochon noir au congrès du Bois caïman le 14 Aout 1791. https://www.mercaly.com/

Selon l’histoire le sang recueilli fut distribué à boire aux différents participants. Ce sang à consolider et électriser les esclaves jusqu’à réussir la révolte du 21 au 22 aout 1791 à Saint-Domingue. Tandis que l’impératrice Claire Heureuse est considéré aujourd’hui comme la première infirmière D’Haïti pour la qualité de service qu’elle a rendu au cours de la révolution. Elle est celle qui soigne les blessés et nourrir les affamés tout au cours des combats ayant abouti à l’épopée de 1804. Aux enfants et aux femmes, Claire Heureuse distribua des vêtements, des vives, des médicaments. Elle a le cœur touchant. Elle est durement opposée à la politique dure de son mari. L’histoire a retenu qu’elle a sauvé le français Descortiilz en le cachant sous son lit. https://www.mercaly.com/

Entre autre, l’histoire a retenu la dénommée Marie sainte Dédée Bazile connue comme le loup blanc sous le pseudonyme « défilée la folle ». Dédé est la pathétique colporteuse qui a amassée le reste du corps de Dessalines assassiné dans une embuscade au pont rouge érigé par Boyer, Pétion, Rigaud en date du 17 octobre 1806, et l’a déposé aux cimetières de Port-au-Prince. Tandis que l’héroïne Catherine Flon est celle qui a cousu le drapeau bleu et rouge à l ’Arcahaie le 18 mai 1803 après Dessalines se fut décidé d’arracher la bande blanche du drapeau français. Donc, la femme haïtienne a grandement contribué pour la fondation de la patrie haïtienne. Elles ont besoin de considération par ce qu’elles sont des hommes et des considérations spéciales parce qu’elles ont contribué à faire de nous des haïtiens, peuple qui n’a que de fierté historique ancestrale jusqu’à date.

Après ces héroïnes, beaucoup d’autres femmes se battent pour la refondation de notre digne patrie. On ne veut pas en parler ici. On préfère de mettre la cape sur la fête des mères .Fête célèbre en honneur d’une catégorie de femme. On intéresse à ce qu’on fait ressortir les conditions dans lesquelles les femmes célèbre la fête des mères. On ne peut pas encore remonter à l’origine de la fête des mères en Haïti mais on constate qu’elle est revendiquée et célébrée plus par le secteur catholique. Mais si vouloir, on peut monter à l’origine première. En fait, c’est à partir des honneurs fait ả Cybèle, mère de Zeus dans la mythologie grecque cette fête eut pris naissance. Toutefois, c’est en 1908 que les USA ont commencé par célébrer cette fête sous le patronyme « fête des mères » en mémoire Anne Marie Jarvis qui a encouragé le gouvernement américain a adopté officiellement cette fête. Tandis que le Royaume-Unis, l’Allemagne l’ont respectivement adoptée en 1914, en 1923. Cette fête a une portée très commerciale dans les pays riches. Par exemple aux USA, on a dépensé 24 milliards de dollars pour célébrer cette fête. https://www.mercaly.com/

Elle est toujours l’occasion de vœux, de cadeaux aux mamans en Haïti comme bien d’autres pays. Mais cette fête passe toujours comme une lettre à la poste. On n’en profite pas pour poser le problème sérieux des mamans, des femmes ; produit des réflexions en guise de fête. Sans Pour autant ignorer que certains ont déjà résolu quelques grandes difficultés qu’encourt la femme. On n’est encore inconscient qu’on fête la fête des mères pendant que la situation de la femme est accablante. A ce beau jour de la fête des mères, la femme haïtienne éprouve de sérieux problème qu’on devrait mettre sur le tapis.

 D’abord en Haïti on n’a pas encore recueilli assez de données en ce qui concerne la situation de la femme. On ne peut pas mentionner le nombre de femme violée. On est incapable de déterminer les degrés de participation de la femme dans les affaires publiques, les organisations socioprofessionnelles. On n’a pas de chiffre en ce qui concerne le taux de mortalité de la femme en Haïti. On n’a pas vraiment informé des conditions de vie domestique de la femme. Le moindre service juridique à la disposition des femmes qui existe concerne seulement les grandes juridictions. Les sections communales en sont dépourvues. On s’y reste. Par contre, selon une étude menée par l’ONU-FEMME en janvier 2011 en Haïti, 42% des ménages sont dirigés par des hommes. Et selon un recensement de l’IHSI en 2003, la moitié de la population haïtienne est femme. Par ailleurs, une dernière étude menée par l’ONU admet que 70% des femmes subissent de violences physiques ou sexuelles durant leur vie. Toutefois, ces données ne représentent que la pointe de l’iceberg tant que la situation de vie accablante des femmes a besoin de documenter. Cette situation ne vient pas de soi. Elle résulte d’un manque d’engagement citoyen et de l’Etat. Plusieurs croit que la violence faite aux femmes est une question féminine. Tandis qu’il s’agit d’un problème social, politique, économique, culturel qui doit interpeller tous. Jusqu’à la présente minute, selon certaines cultures, il est normal de dominer les femmes, de priver les femmes de l’éducation, de formation professionnelle…

Ces éléments culturels là sont à bannir. Ceci fait de la femme un objet entre les mains de certains hommes ả mentalité coloniale. Ensuite l’Etat légifère peu à propos de cette situation. Les moindres lois adoptées ne sont pas vraiment en application. Cela veut dire qu’il n’a pas de sévérité en ce qui concerne la violence faite aux femmes. Pour peu, c’est quelques causes de la situation accablante de la femme. En ce beau jour de fête des mères, on veut rappeler aux haïtiens et au monde que la situation de la femme haïtienne est un facteur causal du sous-développement en Haïti. Si les statistiques de 2003 montrent que la moitié de la population en Haïti est femme alors la moitié du pays est encore dans une situation infrahumaine. Ci-inclus la situation de précarité de deux sexe, le pays a raison d’être encore plus pauvre du continent.

 A raison que nous vivons dans une société déséquilibrée, d’exclusion, de domination. A raison que les familles sont autant fragiles en absence du père. Par contre des décisions sont en train de prendre à l’échelle internationale pour pallier cette situation accablante sur le plan global. Ainsi, en date du 24 novembre 2009, Ban Ki Moon, dans la lutte de l’ONU pour l’émancipation des femmes, a lancé le Réseau des Leaders des Hommes auquel on trouve Desmond Tutu. Ce réseau a pour mission de sensibiliser le monde sur la nécessite de respecter et protéger les femmes .Par ailleurs en 2000 l’ONU a pris la résolution de 1325 réclamant une étude de l’impact des guerres sur les femmes et la participation des femmes dans les résolutions de conflit dans le monde.

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 Ainsi, des programmes de recensement des données concernant la violence faite aux femmes sont réalisés en 2009. Tandis qu’en Haïti on vient de ratifier une loi concernant la paternité responsable et l’admission du quota de 30% de femmes dans les postes de décision.

Toutefois, l’Etat est appelé ả légiférer sur l’avortement, l’équité de genres, sur la violence faite aux femmes, sur possibilité pour la femme de recevoir une éducation de qualité et capable d’accéder a des postes de décision.

 En guise de la fête, faisons la réflexion.


By: Wilson ARCHANGE SAINT-BRUN
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