Rechercher dans ce blog

mardi 7 juillet 2015

3 bonnes raisons d’aller voir 50 Nuances de Grey


Quand on va voir l’adaptation d’un livre au ciné, le risque, c’est d’être déçue. Encore plus si ledit bouquin ne nous a pas fait spécialement décoller au départ. C’est la raison pour laquelle je suis allée voir Cinquante Nuances de Grey (réalisé par Sam Taylor-Johnson) avec une pointe de scepticisme… qui s’est vite envolée ! Et c’est bien la première fois que j’avoue préférer une adaptation au roman d’origine. Pourquoi, me direz-vous, braver la foule pour aller voir ce film ? Tout d’abord parce que le personnage d’Anastasia Steele y est plus attachant, plus « réel ». Spontanée, elle semble sûre d’elle et découvre l’univers de Christian Grey avec une pointe d’humour, qui confère à l’œuvre une note de légèreté. « C’est quoi un plug anal ? » s’interroge-t-elle lors de la négociation du contrat, suscitant l’hilarité de la salle : certes, la jeune femme conserve une part de naïveté, caractéristique du personnage, mais sans tomber dans l’extrême… Car dans le livre, personne n’arrive à s’identifier à cette Blanche-Neige qui découvre les sept fouets ! Le film nous donne un aperçu de ce qu’est vraiment une relation BDSM, de façon plus concrète que le roman d’E.L. James. La notion d’adrénaline, omniprésente dans toute relation sado-masochiste, y est subtilement mise en relief, que ce soit dans la peur ressentie par Anastasia (« est-ce que ça va faire mal ? ») que dans les distractions des deux personnages principaux : course à pied, hélico, planeur… D’autre part, l’héroïne semble ici ressentir un réel plaisir à recevoir une fessée, plaisir qui ne ressort pas tellement dans la trilogie écrite. Ses images esthétiques et sa bande son exceptionnelle font de ce film un véritable plaisir des yeux et des oreilles. Les scènes de sexe sont remarquablement filmées, dévoilant les corps sans jamais tomber dans le porno. L’intérêt est cependant légèrement plus porté sur les courbes de Dakota Jonhson… alors qu’on aurait volontiers laissé nos yeux vagabonder sur le corps musclé de Jamie Dornan ! Petit bémol : les soupirs à répétition de l’actrice lors des scènes érotiques nous arrachent parfois un sourire ironique… Enfin, la musique vient apporter la touche finale à certaines scènes. Mention spéciale pour la reprise de « Crazy in Love » par Beyoncé, dans une version particulièrement sensuelle. Finalement, cette adaptation reste assez fidèle à l’œuvre originale, en évitant – pour notre plus grand bonheur – de reproduire les passages les plus clichés. Oui, cette histoire d’amour est un peu trop fleur bleue, mais les scénaristes ne pouvaient pas non plus réécrire toute la trame… Côté acteurs, Dakota Jonhsons et Jamie Dornan s’en sortent avec brio dans le rôle de la jeune étudiante ingénue et du dominateur énigmatique. Pari réussi pour la réalisatrice britannique ! Source: Femmeactuelle.fr

Le baiser célébré dans le monde entier


French kiss, smack, ou baiser d'esquimeau... Ils sont aujourd'hui tous célébrés à l'occasion de la journée mondiale du baiser. Si la pratique est devenue commune dans le monde entier, cela n'a cependant pas empêché certains baisers de marquer l'Histoire.
Avec le nez ou avec la bouche, avec la langue ou sans, le 6 juillet, c’est la journée mondiale du baiser. La pratique remonterait, selon les chercheurs, à 1500 avant Jésus-Christ. Les premières mentions sont retrouvées dans des textes indiens, bien qu’à cette époque, le terme « baiser » n’existe pas. Ils évoquaient alors l’acte de «se renifler avec la bouche ». Un acte d’affection, mais pas seulement Si le baiser est aujourd’hui un acte commun d’affection, il permet aussi, selon des chercheurs américains, de sélectionner son partenaire. De nombreuses informations venant de l’attitude, du toucher, ou d’indices chimiques sont échangées durant l’acte. Les femmes percevraient d’ailleurs mieux ces données que les hommes. Ils seraient en revanche capables de repérer de façon inconsciente la fertilité de leur partenaire en l’embrassant. Pendant l’ovulation, la salive des femmes contiendrait des molécules particulières. En s’embrassant, les deux individus libèrent également de l’ocytocine. Cette substance est aussi appelée « hormone de l’amour ». Elle stimule le désir sexuel, l’amour, mais aussi l’attachement. Le plus long baiser du monde a duré plus de 58h En moyenne, nous nous embrassons cinq fois plus en été qu’en hiver, saison des amours oblige. Chaque baiser sollicite une trentaine de muscles, rien que dans le visage, et dure en moyenne douze secondes. Mais pour certains, douze secondes, c’est trop court. En 2013, un couple de Thaïlandais a ainsi battu le record du monde du plus long baiser jamais réalisé. L’échange a duré 58 heures et 35 minutes. 80 millions de bactéries échangées en dix secondes Durant les baisers les plus langoureux, nous pouvons échanger jusqu’à 80 millions de bactéries en seulement dix secondes. Ne reste plus qu’à calculer combien nos deux Thaïlandais ont pu en partager en 58 heures. Ne vous inquiétez toutefois pas pour eux, il paraît que cela contribue grandement à renforcer nos défenses naturelles. Le bisou mythique de Laurent Blanc à Fabien Barthèz Parmi les baisers mythiques de l’Histoire de nos sociétés occidentales, « Le baiser de l’Hôtel de ville », immortalisé par le photographe Robert Doisneau apparaît comme une évidence. Le bisou de Laurent Blanc sur le crâne de Fabien Barthez avant chaque match de la Coupe du monde de football de 1998, jusqu'à la victoire de la France, a aussi marqué les mémoires. De quai des Brumes à Spiderman Les cinéphiles, eux, retiendront la fameuse scène de baiser entre Jean Gabin et Michèle Morgan dans Quai des Brumes. Le plus long baiser de l’histoire du cinéma dans L’affaire de Thomas Crown, qui s’étale sur 55 secondes, a également beaucoup fait parler de lui. Quant au baiser renversé de Kirsten Dunst à Tobey Maguire dans Spiderman, il a aussi fait son effet. Les baisers scandales Mais en dehors des baisers paillettes, il y a aussi les baisers scandales. Ceux qui font sursauter le monde. Parmi eux, celui que Madonna adressait à Britney Spears en 2004, sur la scène des MTV VMA. L’échange langoureux avait choqué l’Amérique la plus puritaine. Autre tumulte : celui de la campagne de publicité d’une célèbre marque italienne de prêt à porter. Elle avait lancé en 2011 une série de montages photo tirés en affiches. Sur l’une d’elle, le Pape Benoît XVI embrassait un imam du Caire. Le baiser avait crée la polémique et la marque, sous pression avait dû retirer sa campagne. source: yahoo.com

Trop naïve, qu'est-ce que ça cache ?


Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la naïveté n’est pas la garantie d’une vie psychique simple et sereine, au contraire. En prendre conscience peut nous aider à modifier cette posture qui, au bout du compte, nous dessert. Vous « marchez » à tous les coups, surtout les plus énormes (Untel a trouvé un crocodile dans sa baignoire) ; vous tombez facilement dans les panneaux affectifs (si la peste de l’équipe se met à pleurer, c’est finalement les autres qui sont méchants) ; les théories fumeuses peuvent vous faire l’effet d’une révélation… (le 11-Septembre, c’est un coup des Américains). Votre naïveté désarme, mais elle est parfois inquiétante. Car l’excès de naïveté est une défense, par l’ignorance et l’absence de réflexion, qui s’oppose à la réalité. Mais pourquoi vous colle-t-elle à la peau ? « Quand elle est le résultat d’un positionnement inconscient, ce qui est le cas le plus fréquent, elle empêche d’apprendre à se défendre du réel, dans la mesure où elle le voile. D’où l’intérêt d’essayer de comprendre les mécanismes qui ont présidé à sa mise en place pour mieux les démonter » avance Virginie Megglé, psychanalyste.* * Coauteur de "Frères, soeurs, guérir de ses blessures d'enfance", Leducs éd. Conserver les illusions de l’enfance La naïveté peut être le signe ostensible d’un non-désir de grandir. « Il est frappant de constater comment une naïve peut aller jusqu’à adopter des signes extérieurs propres à l’enfance, comme une petite voix haut perchée », note Sylvie Protassieff, psychanalyste. Son enfance a-t-elle donc été si idyllique qu’elle s’y accroche ? Pas forcément. Le plus souvent, elle la reconstruit a posteriori, l’habille de la magie et du merveilleux que l’on prête généralement à cette période de la vie. « Si elle reste bloquée à ce stade, c’est sans doute que ses parents l’y ont maintenue, en ne répondant pas à ses questions, en la surprotégeant, etc. Bref, en l’empêchant de grandir, admettant mal qu’elle s’émancipe, développe Virginie Megglé. C’est une forme de maltraitance, en tout cas de manipulation. » La naïve la reprend plus tard à son compte, jouant la femme-enfant pour inciter les autres à s’occuper d’elle, la prendre en charge. C’est un problème ? Oui, quand cette posture nous empêche d’accéder à notre propre vie, pour protéger nos illusions (mes parents ne voulaient que mon bien, alors je reste fidèle à ce qu’ils m’ont transmis). Que faire ? Peut-être pouvez-vous commencer par ne plus être la « petite fille parfaite à son papa et à sa maman ». Par exemple, en osant prendre une décision dont vous savez qu’elle leur déplaira mais qui vous, vous fait très envie. Un bon début pour tenter de vous défaire de cette position infantile. Un déni de la violence « Face à l’agressivité, à la violence et aux turpitudes du monde, certaines personnes dépourvues de sécurisation intérieure se sentent anéanties. La naïveté est pour elles une question de survie : en ne voulant rien voir ni savoir de toute forme de vilenie, elles se protègent », avance Sylvie Protassieff. Elles prennent grand soin de se confronter le moins possible à l’épreuve des faits, préférant se retirer dans leur bulle. Sauf que, dès qu’il y a déni, il y a clivage. C’est-à-dire qu’une partie de nous sait ce que l’autre préfère ignorer. Afin de ne pas être tiraillées, ces personnes prennent soin de se confronter le moins possible aux faits. Par exemple, elles fuient les infos ou les considèrent comme des mensonges. « Elles font profession de foi de leur crédulité, seule posture psychique qui leur permet d’ignorer le mal et donc d’essayer de s’en défendre », poursuit la psy. C’est un problème ? Selon Virginie Megglé : « Cette cécité conduit à une appréhension appauvrie de l’environnement, de la complexité des personnes et des situations. » Que faire? Essayez de vous confronter au réel, à travers la littérature d’abord, dont la vérité subjective est faite de pensées, de sentiments et de visions qui nous parlent et nous socialisent. Quand notre univers intérieur est enrichi, il est plus facile de prendre du recul pour affronter une information plus crue, (voire mise en spectacle). A petites doses, d’abord, via la lecture des journaux. Les mots étant moins choquants que les images, ils vous laisseront le temps d’apprivoiser le monde, d’enrichir de nuances l’espace entre crédulité et méfiance excessive. Et de déconstruire ainsi une position de victime, idéale pour se faire avoir et malmener… Le besoin de se préserver Derrière la naïve, qui nous fait bien rigoler à se ridiculiser en proférant des énormités, peut se cacher une souffrance. « La naïveté est un mécanisme de refoulement, par exemple pour empêcher qu’un traumatisme jamais élaboré ou un secret de famille jamais verbalisé ne remonte à la surface. En se positionnant résolument du côté du beau, du bon, du joyeux, de l'inconsistant même, on peut espérer faire contrepoids à toute cette noirceur que l’on sent en soi (dont on s’attribue, à tort, la culpabilité) prête à nous happer », décrit Sylvie Protassieff. C’est un problème ? Face à ce qui n’est pas clair dans sa famille, un individu aura du mal à trouver de la cohérence dans son univers. Pour contenir une forte anxiété, il peut s’obliger à croire ce qu’on lui a raconté et, du coup, s’interdire de penser de peur que quelque chose lui explose au visage. D’où un comportement de pitre, d’« idiote », qui cache sa vérité et se ferme à la vérité de l’autre. Que faire?Aidez le refoulé à remonter en douceur. Pour cela, menez votre petite enquête. Chez vous, parle-t-on toujours de la pluie et du beau temps, jamais de sujets profonds ? Vos parents utilisent-ils souvent l’expression « parlons d’autre chose » ? Ou bien sont-ils très naïfs également ? Des indices qui peuvent indiquer un secret de famille… Interrogez aussi vos rêves et cauchemars, voyez s’ils cherchent à vous dire quelque chose d’un ancien trauma. Une fidélité aux croyances familiales Parfois, la naïve ne réussit tout simplement pas à s’extraire d’une idéologie familiale dans laquelle elle a toujours baigné. « Parce qu’elles créent un sentiment d’appartenance et soudent le groupe, les croyances familiales philosophico-religieuses peuvent se propager avec force de génération en génération. Il n’est pas si courant que ça qu’un individu les renie. A moins qu’il n’ait le désir avéré de se mettre au ban de sa famille », affirme Sylvie Protassieff. Ces croyances, provenant de ceux qui nous ont élevée, sont associées à la protection. C’est un problème ? Vivre dans une famille où l’on s’acharne à embellir l’existence de chacun, où l’on n’a surtout pas le droit d’aller mal ou de penser du mal est étouffant. « C’est là qu’à un moment donné peut apparaître un symptôme grave, anorexie ou addiction chez un ado, par exemple. Comme s’il n’y avait pas d’autre voie que l’excès pour signifier : non, tout n’est pas rose dans notre famille ! », explique Virginie Megglé. Que faire ? Prenez soin de votre réseau d’amis, étoffez-le si besoin. Vous sentir soutenue par de solides appuis affectifs vous rendra plus facile le fait de tourner le dos aux diktats familiaux qui vous étouffent depuis si longtemps. Même si votre courage se solde par un rejet familial, vous ne serez pas seule ! Oui à la naïveté éclairée ! Quand elle est décidée et conscientisée, la naïveté peut constituer une démarche intéressante, une manière de poser un regard vierge sur le monde et les autres qui laisse la place à tous les possibles. On peut en effet avoir envie de croire que le pire n’est pas certain, et ainsi permettre au meilleur (peut-être) d’émerger ! En renonçant délibérément à la suspicion et la méfiance, en cherchant le bon chez autrui, qui sait si on ne va pas le trouver ? C’est en tout cas une heureuse façon de se positionner. Oser cette naïveté délibérée, c’est renouer avec son « enfant intérieur », comme l’appelait Jung, et ses capacités d’émerveillement, assez proches de la joie pure des philosophes stoïciens ! Le naïf éclairé est celui qui ne sait pas encore, qui est ouvert à toutes les découvertes. N’étant pas coincé dans une posture de défense, il est prêt aussi à réviser son optimisme si les faits viennent le contredire. source: femmeactuelle.fr

Pourquoi nous devrions tous boire plus de vin


Oui, vous avez bien lu, nous devrions tous nous mettre à boire plus de vin et sans attendre. Selon les scientifiques (et qui contredirait les scientifiques ?), ce délicieux nectar en bouteille a plus d’un bénéfice pour la santé. image Alors pourquoi vous priver ? Buvez ! 1. Le vin rouge contient des polyphénols, des substances qui aident votre corps à combattre les bactéries nocives. 2. Le vin peut aider à réduire le risque de crise cardiaque ou de maladies cardio-vasculaires car il dilate les artères et améliore le flux sanguin, faisant ainsi baisser la probabilité de développer des caillots. 3. Le vin rouge contient du resvératrol, un ingrédient que l’on trouve dans la peau du raisin et qui protège le corps contre le vieillissement. C’est littéralement une crème anti-âge digestible ! 4. Autre bonne nouvelle pour les amateurs de vin rouge : vous vous souviendrez probablement mieux de votre soirée puisqu’il a la capacité de réduire le risque de démence. 5. Les études ont démontré que boire modérément est meilleur pour votre santé que l’abstinence totale. Vous ne serez plus jamais obligé de refuser du vin ! 6. La plupart des vins rouges contiennent des flavonoïdes, des composants en mesure de diminuer le risque de développer certains types de cancer. 7. Boire du vin peut diminuer le risque d’ostéoporose puisque cela augmente la densité minérale des os, à la fois chez l’homme et chez la femme. Hourra ! 8. Le vin rouge est également une très bonne source d’antioxydants. Ceux-ci font augmenter votre taux de HDL (le bon cholestérol) et baisser celui du LDL (le mauvais cholestérol). 9. Modèle de générosité, le vin rouge ralentit également la formation du cancer de la prostate et du cancer du sein ainsi que du cancer de la bouche. Buvons à tout cela ! Attention, néanmoins, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Il faut donc en consommer avec modération. source: yahoo.fr

Come to join us at Mercaly

  Good morning Mercaly has just come to offer you some product that it has put online. We know you don't know much about us or what we...