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lundi 20 juillet 2015

Perfection magazine: le paradis de Pernier "Ecluche"

Perfection magazine: le paradis de Pernier "Ecluche": Haïti, pays ou se trouvent des dizaines de sites touristiques naturel, une écologie qui montre l'avenir, des endroits qui pourraien...

le paradis de Pernier "Ecluche"


Haïti, pays ou se trouvent des dizaines de sites touristiques naturel, une écologie qui montre l'avenir, des endroits qui pourraient être des merveilles, à chaque site passé on croit qu'il ne pourrait pas avoir d'autre qui soit plus belle. Maintenant on se trouve à Ecluche un endroit de Pernier. La richesse de ces sites pourrait faire progresser le pays et permettre à beaucoup de gens de trouver un emploi. Ecluche, un espace de rêve, un lieu de détente pour des milliers de visiteur, venu un peu partout dans le pays et même de l’étranger. Entourer de mangue, des chutes extraordinaires, du soleil pour faire la bronzage et des cascades pour les aventuriers. Ce lieu pourrait exploiter à beaucoup d'autre fin comme le cinéma, vidéo musicale, d'autre richesse qui pourrait avoir dans cet endroit mais semble que le ministère l'a passé sous l'anonymat, jamais entendu parler de lui, qu'est ce que le gouvernement a fait pour le protéger. Laisser entrer les mains de l'érosion, qui fait rage, des habitants sans formations qui construisent n'importe comment, des arbres qui coupent par massif d'où voila a quoi se laisse un tel espace qui pourrait être un des joyaux pour le département.
Dans le département de l'ouest, il n’y a pas beaucoup de sites mais le peu qu'il y a, ne sont pas protégés, des gens qui disent protecteurs de l'environnement, des tourismes mais qui sont réserve qu'aux hôtels, restaurants, mais quand il s’agit des sites naturels on ne les voit pas. Ecluche est non seulement un endroit de rêve mais c'est le lieu qui est le plus accessible de la commune, un espace qu'on trouve des choses différentes. Ce sont ces genres de choses là qui pourraient aider Haïti à sortir dans la situation à laquelle il est fourré maintenant, on a de quoi pour être indépendant mais comment fait si on ignore nos ressources? Regardons les chutes qui pourraient avoir plusieurs mètres de haut c'est tout une merveille. Il faut apprendre aux jeunes à connaître l'importance de nos sites, à les protéger, il faut faire de la propagande pour eux dans le but de canaliser les visiteurs nationaux qu'ou internationaux à savoir quoi trouver dans nos différents sites, leurs richesses, leurs beautés et autre.
En effet, Haïti est la terre ou se résident l'âme des aventuriers, le pays des aventures alors on peut toujours se refaire surface, on a assez pour se remonter. on n'a pas besoin de faire trop mais il suffit de croire en ce que nous avons, en ce que nous sommes comme peuple, de vendre le meilleur de nous et comme ca on verra combien le pays ira mieux. Un endroit comme tel a besoin de soutient de tout le monde. Ce n'est pas le support d'une seule personne mais celle de chacun de nous. Si vous arrivez à mettre de l'ordre chez vous alors vous pouvez unir vos forces avec vos voisins et protéger nos sites. Un conseil, si vous voulez vraiment découvrir la beauté de cet endroit le meilleur moment c'est dans la matinée aux environs de 5h à 9h AM et le meilleur mois c'est celle de décembre et janvier. Haïti, a besoin des nationalistes mais pas de ramasseur de richesse... Patrick Jean Baptiste

Cuba-Etats-Unis: l'heure historique de la réouverture des ambassades


Ce lundi 20 juillet, les Etats-Unis et Cuba rétablissent officiellement leurs relations diplomatiques. Jusqu'à présent, les deux pays disposaient de «sections d'intérêt» respectivement à La Havane et à Washington. Celles-ci seront donc rebaptisées en ambassades. C'est une nouvelle page de l'histoire de leurs relations qui s'ouvre, après 54 années d'hostilité. Avec notre envoyée spéciale à La Havane, Véronique Gaymard C'était l'un des derniers vestiges de la Guerre froide. Le géant américain et Cuba se toisaient depuis la rupture des relations diplomatiques décidée en janvier 1961 par le président américain Dwight Eisenhower. Depuis, le mur de Berlin est tombé, le président Barack Obama a reconnu l'échec de la politique américaine vis-à-vis de La Havane, et à Cuba, Raul Castro, qui a succédé à son frère Fidel, a lancé des mesures d'ouverture économique. Quand les deux présidents se sont serré la main à Johannesburg en décembre 2013 lors des obsèques de Nelson Mandela, cela faisait déjà six mois qu'ils avaient entamé des négociations secrètes en vue de ce rapprochement. Dix-huit mois de tractations avec la médiation du Vatican et le 17 décembre dernier, les deux présidents prenaient le monde par surprise en annonçant la reprise prochaine de leurs relations diplomatiques. Depuis décembre, des délégations américaines et cubaines se sont rencontrées à plusieurs reprises. Lundi 20 juillet, les sections d'intérêt respectives seront transformées officiellement en ambassades, à Washington et à La Havane. Un symbole fort, une première phase dans le processus vers la normalisation des relations qui devrait être bien plus long pour régler les différends entre les deux pays, comme la levée de l'embargo réclamée par Raul Castro. « Les décennies d'hostilité ne vont pas disparaître du jour au lendemain » déclarait d'ailleurs en janvier dernier la représentante du département américain Roberta Jacobson. Les temps ont changé depuis que les autorités cubaines ont construit la tribune anti impérialiste et qu’ils ont érigés 138 mats pour cacher le bâtiment de la section américaine. Ici devant le front de mer, sur le célèbre Malecon, la transformation en ambassade du bloc de béton de la section d’intérêt instaurée en 1977 avec Jimmy Carter, ne va pas changer grand-chose pour les Cubains. La présence policière cubaine autour de l’ambassade sera réduite, les contrôles seront désormais confiés aux Américains, les personnels diplomatiques auront une liberté totale de mouvement sur l’île. Pas de cérémonie officielle Etonnement, rien n’est officiellement prévu contrairement à l’inauguration de l’ambassade cubaine à Washington qui attend 500 invités des Etats-Unis et une délégation de 30 personnes dont Bruno Rodriguez, le premier ministre des Affaires étrangères cubain à se rendre dans la capitale américaine depuis des décennies. Il sera d’ailleurs reçu par son homologue américain John Kerry. A La Havane, devant le bâtiment qui abritera désormais l’ambassade américaine sont uniquement déployées des antennes de chaînes de télévision qui transmettent déjà en direct l’événement, dans la chaleur écrasante de l’été. Il n’est pas prévu de changer la plaque. En revanche, le secrétaire d’Etat américain John Kerry est attendu au mois d’août pour hisser les couleurs américaines sur la nouvelle ambassade. Source: RFI

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