Rechercher dans ce blog

jeudi 20 août 2015

Perfection magazine: Crise entre Haïti et la République dominicaine

Perfection magazine: Crise entre Haïti et la République dominicaine: Haïti crie au secours devant la communauté internationale face au rapatriement malhonnête et au traitement inhumain que subissent des diz...

Une page d’histoire sur la Navase


la Navase un territoire haïtien, est réputé de l’être, même s’il est inhabité. La constitution de 1874 est plus précisée sur ce point, car le seconde du paragraphe de l’article 2 mentionne nommément la Navase territoire Haitien. Pour en revenir a la querelle de 1858, elle commença par une communication en date du mars des consuls anglais et français précisant que des citoyens américains ont mit pied sur la Navase, l’ont déclarée territoire américain et y ont plante leur drapeau. A la même époque, des citoyens britanniques arguant qu’elle se trouve entre les cotes haïtiennes et jamaïquaines se demandaient à qui elle appartenait. Les britanniques répondirent clairement qu’elle était possession haïtienne. L’empereur Faustin Soulouque répondit énergiquement a la menace États-unienne en envoyant en avril 1858 deux vaisseaux de guerre avec instruction d’expulser les colonisateurs par la force. Ceux-ci informèrent les exploitant de la mine Navase phosphate Co. Des objections haïtiennes a la revendication de l’autorité étasunienne. Son intervention n’eut pas de suites, car il fut renverse par Geffrard. En 1917, les États-Unienne y installèrent des gardes cotes. En 1989, le gouvernement militaire haïtien dépêcha sur place une équipe de radioamateurs avec un hélicoptère de l’armée. Ceux-ci plantèrent le drapeau haïtien dans le sol et une inscription mentionnant la souveraineté haïtienne. Pendant quelque heures, ils émirent des messages radio depuis «  radio Navase libre ». Le 8 septembre, un groupe de défense de l’ile de Navase écrit aux autorités Étasuniennes. Le système des GPS ne rendit plus obligatoire la présence des gardes cotes Etasuniennes, et le 16 janvier 1997 ceux-ci remirent le territoire entre les mains du département étasunien de l’extérieur. Le conflit resurgi avec en 1998 et il reste un point de contentieux entre Haïti et les États-Unis. L’arrogance de l’ambassadeur Timothy Camey n’arrangea pas les choses lorsqu’il déclara qu’une loi de 1987 en faisait un territoire sous la souveraineté des États-Unis car elle était inhabitée et riche en engrais. Malgré le fait que sa position géographique et le droit constitutionnel en font indubitablement un territoire haïtien, il est regrettable que les cartes haïtiennes n’en fassent pas mention. L’enjeu n’est plus maintenant l’engrais, qui n’est plus exploite, mais l’incroyable diversité de ses richesses biologiques. La Navase recelé en effet des fonds marins exceptionnels avec des variétés de poissons, scorpions et d’araignées inconnues ailleurs. Les scientifiques des expéditions américaines « Quest » en 1998 et 1999 ont publie les résultats suivant: découverte de 90 espèces de d’araignées dont 25 inconnues des scientifiques auparavant - Identification de 227 espèce de poissons dont cinq nouveaux spécimens -on y trouva également des espèces de végétaux propres à l’île (comme le palmier pseudophoeonix sargetti saonae) ainsi que deux espèces endermiques de lézards (cyclura nigerrima et leicocephus erimitus) que l’on pensait disparues. On peut faire le tour de l’ile en bateau. Les amateurs d’excusions accosteront a lulu Bay pour visiter les ruines de la mine et rejoindre l’intérieur a lightous, ou résideraient les garde-côtes. Vous rejoindrez ensuite la cote nord. Vous redescendrez ensuite de la falaise pour rejoindre South point et l’entrée de la grotte Don. Les amateurs de ploguée ne seront pas déçus et profiteront des eaux claires des caraïbes. La plongée commence sur la cote nord et vous ferez le tour de l’ile, en sens inverse des aiguilles d’une montre, jusqu'à South point. Le fort Marfranc est situe a 25 min de Jérémie d’où le tour s’achève… Mais Haiti pourrait-elle gagner ce territoire qui lui revient? et que pensez-vous ? by Patrick Jean Baptiste

La jeunesse mot de passe des politiciens


Zombification de la jeunesse, depuis ces derniers temps on assiste à certaine chose que les politiciens utilisent pour apaiser la jeunesse, des beaux discours qui ont parfois subissent des modifications, des jeunes qui s'agenouillent par devant des manipulateurs pour quelques sous. Mais jusqu'a quand ca va finir? Elle n'entend rien, elle ne voit rien, elle vous suit sans savoir pourquoi, semble qu'elle n'a pas le courage de réagir face ces opportunistes (des religieux, des politiciens). Sur tous les réseaux sociaux on peut les remarquer, dans les rues on les voit, dans les églises, des réunions politiques on peut les observer. Ou va-t-elle? C’est comme un robot ou un objet qu'on peut envoyer n'importe ou et fait ce qu'on veut avec. Regarde dans les guerres, comment on les utilise, dans les clubs ce qu'on fait avec eux. Chaque jour une nouvelle issue ou une nouvelle page s'ouvre juste pour la mettre en déroute, de nombreux plan semblent mis en œuvre pour l'utiliser. Elle est comme une voiture garée au bord d’une auto route et s'exposer à toute sorte de danger, des fois elle tente à tout pris de s'en sortir mais toujours victime de la retombée. Regardant, des gens qui dirent, être leurs amis mais on ne voit pas ca, ce ne sont que des chantages pour l'exploiter. La voiture ne pourrait jamais résister aux attaques qu'on lui fait et personne, n'est venue à son secours mais quand on l'a besoin pour les casses, les manifestations, les incendies on les voit. On a souvent dit: on est avec vous, ne vous en faites mais quand le moment est venu, on les voit plus. Des fois on l'utilise comme objet sexuel juste parce qu'elle n'a pas de quoi pour se défendre. La jeunesse (problème économie) Imagine combien de jeune dans le monde qui rêve de vivre une vie, combien qui ont un projet mais on refuse de les lui laisser passer parce qu'on croit si ils passent, on ne va plus les exploiter. Tant de recherche gaspillée dans les tiroirs de l'université, facultés, école classique par manque de support, combien de jeunes qui se sentent abandonner, perdu dans l'obscurité? On ne fait que de les critiquer, de les jetés toutes sortes de sort, de les traités des vanupieds, vagabond mais est ce le rêve qu'ils ont rêvés? Travailler dans des atmosphères inapproprié, des conditions de vit inhumaines, on a constaté que la plus part des jeunes à l'université ou école classique dans certain pays ne trouve même pas un morceau de pain après la sortie de l'école pour avoir un peu de force pour étudier et quoi que ca ils résistent parce qu'ils croyaient un jour à pouvoir sortir dans cette situation mais toujours bloquer, manipuler par les faux politiciens, bourgeois, religieux, manipulateurs. D'autre par, chaque discours, intervention, interview le terme le plus utiliser c'est la jeunesse, on la fait croire toute sorte de chose, qu'elle pourrait faire fortune, qu'ils allaient les aider à payer l'université, à rentrer dans une école professionnelle, à réaliser leurs projets mais qui ne sont que des mensonges. Elle marche sans arrêt chaque jour derrière cet espoir de lendemain différent ou prospère mais une chose qu'elle ne verra pas. On dirait qu'elle est aveugle et pour lui faire marcher, on lui file une mille gourdes (1000), elle pourrait vous vendre son âme parce qu'elle ne travaille pas et cette somme pourrait faire beaucoup pour lui. Ils n'ont aucune pitié, pour eux c'est l'argent et le pouvoir qui comptent, pour les gagner, ils sont prêts à faire tout, ils n’ont aucun objectif pour la jeunesse et s'il y en a, ce n'est que l'exploitation à des fins arbitraires. Des hommes sans foi ni loi ou des malades de pouvoir qui abuse une jeunesse sans défense, une jeunesse qui n'a aucun pouvoir de crier au secoure et même la qui va les entendre, personne! [Ils sont la justice, ils sont les doyens, ils sont les directeurs, ils sont les parlementaires, ils sont les soit disons défenseurs des droits de l'homme et ils sont l'Etat] alors qui va-t-elle appeler? La jeunesse a-t-elle un avenir? Peut-on croire aux politiciens traditionnels? A des faux patriotes? Enfin, la voila lui qui retourne dans son milieu habituel, désespérer parce qu'elle croyait que tout pourrait être changé mais elle se trompe encore une fois et par les mêmes discours et des fois les mêmes visages. Elle est parfois obligé de boucher le nez et fermer les yeux pour essayer de trouver de quoi vivre parce que les manipulateurs ne pourraient pas les laisser une chance. A vous de décider qui est bon pour vous, ne laisse personne décider à votre place. Patrick Jean Baptiste

Crise entre Haïti et la République dominicaine


Haïti crie au secours devant la communauté internationale face au rapatriement malhonnête et au traitement inhumain que subissent des dizaines de milliers de personnes nées en République dominicaine. La communauté internationale ne peut pas se taire quand des familles se divisent arbitrairement et que des enfants de tout âge sont séparés de leurs parents et conduits à des postes frontaliers, elle ne peut garder le silence lorsque des personnes ont vu leur force de travail exploitée pendant plusieurs décennies et qu’un beau jour on leur demande de débarrasser le plancher sans avoir la possibilité de toucher une pension, ni le droit de récupérer leur maigre patrimoine. C’est en ces termes que le président de la République d’Haïti s’est adressé à la communauté internationale au cours du 36ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernements de la CARICOM le vendredi 3 juillet 2015. Car c’est dans l’indifférence totale de la communauté internationale que la République dominicaine est en train de bafouer les droits élémentaires de plusieurs milliers de Dominicains d’origine haïtienne, en les rapatriant dans un pays qu’ils ne connaissent et en les dépouillant de tout ce qu’ils possèdent au moment de leurs déportation. Cette crise haïtiano-dominicaine est une crise pluridimensionnelle qu’Haïti ne doit pas aborder avec légèreté, car elle emportera avec elle des conséquences économiques, sociales et culturelles incommensurables. C’est face à cette situation effroyable et monstrueuse que le président haïtien Michel Joseph Martelly, faisant l’objet de nombreuses critiques de l’opposition une semaine après avoir minimisé la crise migratoire entre Haïti et la République dominicaine au Champ de Mars, a décidé de hausser le ton, en dénonçant le rapatriement dans des conditions inhumaines de plusieurs milliers de personnes depuis le 17 juin 2015, date de l’échéance du plan national de régularisation des étrangers (PNRE). M. Martelly a en effet sollicité l’intervention de la communauté internationale, malgré son laxisme, en vue de forcer la République dominicaine à revenir sur la table des négociations afin de trouver une issue à la crise. Rappelons que le désaccord entre les deux pays qui partagent l’île d’Hispaniola a été déclenché en octobre 2013, quand la plus haute juridiction dominicaine a décidé dans un arrêté (Cour constitutionnelle dominicaine, arrêté 168-13) que ‘’les enfants nés dans le pays de parents étrangers n'ont pas la nationalité dominicaine". Une décision rétroactive à 1929 qui a, de facto, rendu apatrides plus de 250.000 dominicains, principalement nés de parents haïtiens. Dès lors les personnes concernés se trouvent dans une situation extrêmement complexe : les autorités dominicaines ignorant l’étendue du problème jouent le jeu du rapatriement volontaire, déstabilisant ainsi Haïti, un pays qui n’arrête jamais d’être confronté à des embarras de toutes sortes qui l’empêchent de dominer la misère. Les autorités dominicaines promettent de ne pas organiser de rapatriement massif et de ne pas violer les droits des expatriés dominicains ainsi que des migrants haïtiens. Or, le constat est tout à fait à l’opposé, car depuis le mercredi 17 juin 2015, date de l’échéance du plan national de régulation des étrangers (PNER), des milliers d’Haïtiens ont rejoint les postes frontaliers haïtiano-dominicains, pour retourner volontairement à Haïti ; d’autres, surtout les dominicains de parents haïtiens, plus nombreux que les premiers ont, en revanche, été arrêtés et conduits manu militari aux frontières. C’est le cas de Miley da Benacio, jeune fille née en République dominicaine, contrainte aujourd’hui de vivre en Haïti : elle a été expulsée par l'armée de son propre pays. A 29 ans, c'est contre son gré qu'elle découvre Haïti, le pays d'origine de ses parents, décédés il y a plusieurs années. Elle a déclaré que ses parents vivaient illégalement en République dominicaine en omettant de faire le nécessaire pour régulariser sa situation. Ne connaissant pas Haïti, la jeune femme se dit prête au suicide. Triste situation : le gouvernement haïtien n’a pas su accueillir avec dignité les expatriés.
L’Etat haïtien, le secteur privé, le Forum économique, les élites intellectuelles, la classe bourgeoise et même la Communauté internationale, de fait, n’ont pas manifesté face à ce drame un intérêt majeur. Il faut une véritable entente entre tous les secteurs d’Haïti afin d’accompagner les Dominicains dénationalisés en République dominicaine et les Haïtiens rapatriés, ni complices ni responsables de leurs situations. Ce sont des victimes des politiciens haïtiens qui refusent de prendre leurs responsabilités depuis si longtemps. Une entente difficile car les intérêts en jeu sont très divergents, mais un front commun est indispensable pour que Haïti renaisse de ses cendres. Pour cela, nous devons apprendre à aimer Haïti et les Haïtiens. Pourquoi nos individualismes forcenés nous font –ils abandonner l’intérêt de la nation ? A nous d’imaginer l’accueil de nos frères expatriés, leur intégration parmi nous, le partage de notre travail. Ansanmansanm, nou ka konstwi yon demokrasi solid. Et vive Haïti ! France, le 07 07 2015 wendyphele@yahoo.fr

POURQUOI UN PREFAC ?


Aucun document sur l’historicité de préfac en Haïti ne nous parvient jusqu’ici. On ignore si celui-ci a eu lieu depuis la fondation de la première école supérieure d’Haïti, la faculté de droit et les Sciences Economiques de Port-au-Prince, en 1859. Toutefois, une vue panoramique des dernières décennies nous permet de constater une tournure de nulle autre pareille de la question de préfac en Haïti. Aujourd’hui l’élève n’atteint pas encore la philo, il commence par penser à la préfac indépendamment de l’école fréquentée. Comme la grande majorité de la population fréquente des écoles Haïtiennes dépourvues d’infrastructures, après le baccalauréat, ils sont des milliers à prendre le chemin de préfac. Celle-ci se veut un intermédiaire informel ou un espace transitoire entre l’école secondaire et l’Université. Par contre, certain s’interroge sur le pourquoi d’un préfac et ainsi on va tenter de répondre en complément. Couramment, on dit qu’elle se sert à mettre à niveau les aspirants universitaires. Mais nous ne voulons pas rester ici. D’autre croit que le préfac symbolise l’inefficacité de l’enseignement inferieur de la république d’Haïti. C’est l’échec d’une pédagogie, d’un curriculum en vigueur. Et signifiant aussi aux élèves réussissant la philo que leurs diplômes sont invalides car ils ne correspondent pas pour ce qu’ils ont dévolus. Oui, mais que vaut –il un papier de philo qui vous vaut la peine de vous être accédé à un centre universitaire faute de capacité intellectuel le? De ce fait, l’école n’est pas encore à la hauteur de former des haïtiens valables et compétitifs. D’autre part, cette question de préfac montre l’incapacité des responsables haïtiens d’adresser les difficultés que fait face l’école haïtienne. Le fait de parler de mise à niveau consiste à aborder la solution aux problèmes en amont tandis que le problème devrait aborder d’abord en aval. C’est une mauvaise approche alors. Cette approche tend à normaliser le statu quo d’un système éducatif inapte. Il veut normaliser le peu de place et d’opportunité que dispose l’université Haïtienne depuis qu’elle existe par rapport à une demande croissante de postulant. Par contre, la question de préfac s’en sert à d’autre fin. Certain s’en sert pour faire du beurre, d’autre s’en sert pour faire du capital social. Par exemple dans le plateau central l’ancien premier ministre de l’éducation nationale et de la formation professionnelle en l’occurrence vanneur pierre organise depuis deux années un préfac dénommé «  Focus préfac ». Wilson Sain-brun

Come to join us at Mercaly

  Good morning Mercaly has just come to offer you some product that it has put online. We know you don't know much about us or what we...