Depuis des décennies le problème de santé en Haïti demeure un cas majeur dans le sens d'un cible pour certain qui l'utilise pour faire de l'argent, tant tôt du coté des ONG, tant tôt du coté des politiciens. Haïti au rend mondial est classé très haut avec 48% produit par MNT (maladie non transmissible) par an et une population de 70 % de jeunes, âgés de 15 à 30 ans et 20 % de la population est âgé de 45 ans. La question a posée comment le soin de santé s'organise-t-il dans le pays ?
Selon une source de l'oms (organisation mondiale de la santé) a estimé que les MNT (maladie non transmissible) sont à l’origine de 48% de tous les décès faites en Haïti et la mortalité produit par différente maladie sont: Traumatismes 9%, Maladies cardiovasculaires 24%, Affections transmissibles, maternelles, périnatales et nutritionnelles 42%, Cancers 7%, Affections respiratoires chroniques 1%, Diabète 5%, 12% mais le plus dur c'est dans l'état ils sont morts, le plus souvent c'est un problème de soin, de médicament qui sont parfois arrivé trop tard en raison d'un parcoure qui, ont estimé trop loin, ce qui raconte les médecin et pharmaciens qui n'ont pas pu trouver les médicaments en raison du pays d'ou ils proviennent, un problème de distance, des fois d'autre problème sont arrivés. Un patient témoigne la cherté des médicaments que les pharmacies semblent utilisée pour faire du marché noir ou vendu à un prix exorbitant.
Le taux de mortalité infantiles
Haïti affiche le taux de mortalité maternelle le plus élevé de l’hémisphère occidental. Dans ce pays, une femme a, durant les années où elle est fécondée, une probabilité sur 37 de mourir de causes liées à la maternité. La mortalité des enfants est trois fois supérieure à la moyenne de l’Amérique latine : les moins de cinq ans courent un grand risque de contracter une maladie évitable, telle que la diarrhée ou la pneumonie.
Par contre, Les obstacles à une quantité minimum de santé semblent si énormes et si complexe qu'il est presque impossible pour un seul médecin pour avoir une quelconque influence sur leurs effets. Mais si nous prenons un point de vue plus modeste de ce que signifie la santé, peut-être que nous pourrions être en mesure de transcender les complexités de la maladie et offrir une mission très pratique pour la médecine moderne. "Cette mission a été définie plus clairement par un médecin français, Georges Canguilhem, dans son ouvrage de 1943, Le normal et le pathologique. Canguilhem a rejeté l'idée qu'il y avait des états normaux ou anormaux de la santé. Il vit santé pas comme quelque chose de défini statistiquement ou mécanique. Plutôt, il a vu la santé comme la capacité à s'adapter à son environnement. La santé n'est pas une entité fixe. elle varie pour chaque individu, en fonction de leurs circonstances. La santé est définie non pas par le médecin, mais par la personne, selon ses besoins fonctionnels. Le rôle du médecin est d'aider l'individu à adapter leurs conditions prévalant uniques. Cela devrait être le sens de «médecine personnalisée». Dit: le professeur Tarun Khanna (Harvard Business School) de Harvard University dans son cour d'entrepreneurial et les soins de santés dans une économie émergente.
Haïti, souvent appelé terre de la liberté mais serait-ce important de parler de la liberté tant que nous sommes fourrés dans cette bourbier que nous salissons nos mains pour survivre en détruisant les autres que nous appelons frères, sœurs. Pourquoi vendre des médicaments expirerez, des choses destructives juste parce que vous puissiez faire des millions mais a quoi ca sert d'avoir des millions pourtant dans votre milieu vous vivez avec inquiétude ? A quoi ça sert d'être médecin si vous ne faites pas votre travail, si les patients meurent dans votre hôpital ou celle que vous dirigerez ? A quoi ça sert d'être médecin de laisser des personnes meurent pour des raisons économiques ? Vous qui êtes médecin, vous êtes appelé à sauver des vies mais pas les détruites. C'est la raison pour laquelle le problème de santé dans le pays se déprave de jour en jour. Des médecins qui ne remplissent pas leurs tâches, des gens qui ne savent rien dans le domaine qui vendent des pilules n'importe comment et n'importe ou sans avoir aucune conscient humaine pour voir que c'est un délit. Les services de santé souffrent également du manque d’efficacité du personnel qui découle de la surcharge de travail, de l’insuffisance des formations et de la faiblesse des rémunérations. Il faut une approche nouvelle pour remédier à tous ces problèmes.
Pour résoudre ce problème il faut que le ministère de la santé publique ait un contrôle permanant sur le flot de médicament qui rentre dans le pays et mettre un système afin de permettre que les médicaments arrivent à temps aux patients pour éviter trop de décès. Néanmoins, pour y parvenir, tant le gouvernement haïtien que ses partenaires donateurs devront assumer leurs responsabilités respectives, faire preuve d’audace et prendre des risques calculés. L’État doit réformer la fonction publique, exercer pleinement son leadership et lutter contre la corruption. Parce qu'on ne peut pas vivre dans un pays la ou il y a peu d'hôpitaux et de clinique et que après 3h30 Pm tout ce ferment, pas de soin après ces heures la. Ce n’est pas possible. Si nous voulons résoudre ce problème de mortalité, il faut penser à ca aussi. Imaginons une personne a un problème aux environs de 4h Pm le temps pour trouver les cliniques et hôpitaux qui sont ouverts la personne pourrait déjà mort. Forte de quoi? Forte de disponibilité des médecins, soucier a aller aux plaisirs ou aller se détente cause des milliers de mort par an.il faut que ca change, on ne doit pas vivre dans cette situation.
Les partenaires, eux, doivent adopter une vision à long terme, à savoir mettre à disposition des ressources permettant de renforcer la gouvernance et faire preuve de fermeté face au refus des compromis et aux faux-fuyants. Il est aussi nécessaire d’apporter un financement direct afin que les pouvoirs publics puissent jouer leur rôle de régulateur et de gestionnaire. En plus de faire des émissions radio et télévision afin de former et d'informer la population sur comment utiliser ce système et des mesures à prendre au cas où il y a un problème de santé auquel ils font face, d'organiser des séminaires avec des organisations nationales pour former les gens qui vivent dans endroit éloigner, de créer des centres de santé par tout dans le pays.
Patrick JEAN BAPTISTE
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